Kevredigezh Breizh-Galiza
Asociación Bretaña – Galicia
Mairie Mur de Bretagne –22530.
Adresse postale : 3 Rue Yves de Kerguélén – 56000 Vannes. Téléphone : 02.97.40.72.40.
Site : http://www.bretagne-galice.com/ Courriel : bretagne.galice@gmail.com -------------------------------------------------------------------------------------------------------------
ASSEMBLEE GENERALE DU COMITE :
L’assemblée générale du Comité, quelque peu perturbée par les contraintes climatiques, s’est réunie samedi 11 février à Mur de Bretagne.
Un tour de table a permis de dresser le bilan d’activité du Comité et des jumelages.
Le comité s’est mobilisé autour du centenaire de la naissance d’Alvaro Cunqueiro. Plusieurs conférences se sont déroulées à Pontivy, Dinan, Lorient.
A Lesneven une conférence, organisée à l’initiative de l’UTL et du comité Lesneven – As Pontes a eu lieu sur l’œuvre d’Alfonso Castelao. Le même thème sera à l’ordre du jour d’une conférence qui se déroulera à Muzillac en Mai prochain.
A l’occasion du second congrès des jumelages de l’ouest qui s’est tenu à Pontivy, en Novembre 2011, Pierre Joubin a assuré l’animation d’un atelier sur les jumelages.
Dans le domaine de l’information, le comité répond à un certain nombre de sollicitations générées par la diffusion bimestrielle du bulletin d’information et via le site internet.
État des lieux de la vie des jumelages:
Le regard porté sur la vie des jumelage montre que l’activité et le dynamisme des comités de jumelage, les relations que les villes entretiennent dans ce cadre, sont fortement induits par la qualité des liens établis réciproquement entre les acteurs de chaque ville, et tributaires de l’investissement de ces derniers. A ceci s’ajoute la difficulté supplémentaire que, du côté galicien, les changements politiques consécutifs aux résultats des élections municipales peuvent être fatals à la pérennité d’un jumelage.
Si certains jumelages ne fonctionnent plus, d’autres (heureusement les plus nombreux), maintiennent une activité régulière impliquant la population. Il est regrettable que c’est dans les grandes villes, disposant qui plus est de bases universitaires et de moyens importants, que les relations sont au point mort faute de comité digne de ce nom.
Parmi les comités les plus actifs :
Tréguier – Mondoñedo : A Tréguier le comité organise des cours d’espagnol répartis sur deux niveaux. Au cours ce l’année, une conférence sur Cunqueiro a connu une fréquentation satisfaisante, et le comité a participé à trois forums.
Mur de Bretagne – Sarria : l’année 2011 a été l’année des changements, changement de président du comité, de maire en Galice. A Mur de Bretagne une co présidence est assurée depuis un mois par Philippe Remaud et Louise Anne Le Gac.
En 2011, un déplacement a eu lieu en Galice via le ferry St Nazaire Gijón, à la faveur du passage du tour de France le comité a organisé un fest noz. Les cours d’espagnol sont suspendus en raison de l’absence de professeur.
En Août prochain, 40 Galiciens sont attendus après un voyage via le Mont St Michel. Deux conférences seront organisées au cours de ce séjour, ainsi qu’un fest noz.
Pour 2013, un programme d’activité et des projets auront pour thème le Chemin de St Jacques. Deux échanges de collèges auront lieu avec Sarria et avec Lugo.
Le collège de Mur de Bretagne a obtenu un prix littéraire dans le cadre d’un concours de nouvelles avec l’Institut Gregorio Fernandez.
Lesneven – As Pontes : les 20 ans du jumelage ont été célébrés en 2011 à As Pontes, en 2012 ce sont les Galiciens qui seront reçus à Lesneven. Les cours du soir d’espagnol accueillent une trentaine de personnes.
Le comité assure la promotion de la Galice auprès des personnes qui projettent de s’y rendre. Des aides sont également apportées aux lycéens qui ont à réaliser des TPE ou qui recherchent un lieu de stage.
Quimper – Ourense : en 2011, participation au 12ème salon Xantar, salon galicien du tourisme et de la gastronomie. Pendant les 6 jours du salon les lycées hôteliers Chaptal de Quimper et Villamarin d’Ourense, ont assuré les 200 couverts quotidiens pour le service d’un menu finistérien. Sept bénévoles du comité ont assuré la promotion touristique de la Bretagne.
En Avril, une délégation Ourensana s’est déplacée à Quimper pour la signature du jumelage entre les galeries commerciales Géant Cornouaille et Ponte Vella. Dans la foulée, s’ouvrait, à Quimper, le salon de l’alimentation sur lequel : la ville d’Ourense, l’Université de Vigo, l’union des hôteliers et restaurateurs de la Provincia d’Ourense, et le Centre Technique de Recherches de la Viande de Galice, avaient un stand.
L’activité du comité, s’est aussi focalisée sur les échanges universitaires : convention Erasmus Quimper Ourense, et la proposition de stages en entreprise pour les étudiants de l’UBO et de l’IUT de Quimper. Préparation du partenariat entre les lycées techniques Thépot Quimper et A Farixa Ourense dans le cadre du projet européen Climatlantic.
Chaque mois le comité propose 2 tertulias et un film en vo dans le cadre du cycle de Cine Hispano.
Pornic – Baiona : ce jumelage fonctionne bien, des voyages, échanges, régates, et des stages de muñera sont régulièrement organisés.
A Vannes, Amigos de España maintient des liens réguliers dans le cadre d’échanges scolaires avec Oleiros et a établi un e-twinning avec l’Ecole Officielle de Langues de Pontevedra.
Nous avons le plaisir d'acceuillir de nouveaux adhérents dont le Comité de Jumelage de Plougonvelin-Fisterra.
Nous avons le plaisir d'acceuillir de nouveaux adhérents dont le Comité de Jumelage de Plougonvelin-Fisterra.
Approbation des comptes:
Anne Levesque présente les comptes de l’exercice 2011 qui sont approuvés à l’unanimité des membres présents.
Election des membres du bureau:
A l’unanimité des membres présents, le bureau du Comité Bretagne Galice est reconduit dans sa composition actuelle, à savoir : Président : Pierre Joubin. Secrétaire : Agnès Le Lay. Trésorière : Anne Levesque
Questions diverses:
* L’assemblée s’inquiète du devenir des institutions culturelles bretonnes et notamment l’ICB qui a cessé son activité le 31 décembre dernier. Un document « Matière de Bretagne et diversité culturelle » a été élaboré par la Région mais de nombreuses interrogations demeurent notamment sur le rôle et la place des associations.
* Le Festival de Douarnenez qui aura lieu du 17 au 25 aout sera consacré aux Communautés d’Espagne donc la Galice. Nous avons été contactés à ce sujet par les organisateurs.
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Des représentants du monde politique, culturel ont participé aux nombreuses manifestations qui ont marqué le 175° anniversaire de la naissance de Rosalia de Castro, depuis les plus officielles à celles, plus modestes, mais tout autant émouvantes dans nombre d’écoles, de villages. Saint Jacques, La Corogne, A Estrada, Vagalumes ..
L’acte le plus solennel, organisé par la Fundación Rosalía de Castro, la Xunta, la Diputación de A Coruña y les municipalités de Santiago et de Padrón, a eu lieu à l’Hostal dos Reis Católicos (à l’époque un hôpital), là où fut baptisée la poétesse. Lors de cette manifestation présidée par le conseiller aux affaires culturelles, Jesús Vázquez, des poèmes parfois accompagnés de musique ont été lus.
Pour sa part, l’Association des auteurs en langue galicienne (AELG) a organisé un important programme d’activités invitant tous les galiciens a commémorer cette journée en offrant un livre et une fleur. Dans de nombreuses villes, un manifeste demandant une plus ample diffusion de l’œuvre de Rosalia notamment parmi les plus jeunes a été lu. Son œuvre, comme le note l’AELG, est un portrait du peuple galicien, un portrait qui demeure d’une grande actualité. Elle a été la voix du peuple, une voix qui a guidé en permanence son œuvre et ses pensées. Figure emblématique avec Eduardo Pondal et Curros Enriquez du Rexurdimento –la renaisssance galicienne- Rosalia de Castro a aussi été précurseure de la poésie espagnole moderne.
De nombreuses lectures de poèmes, de conférences ont été organisées. Et dans de nombreuses écoles, les enfants ont participé à cet hommage comme ces écoliers de O Foxo (Lalín) qui ont ouvert un Jardin de la Poésie orné de poèmes qu’ils ont récités et chantés (Photo : Faro de Vigo).
HOMMAGE A ISAAC DIAZ PARDO :
Plusieurs cérémonies se sont déroulées en hommage à Isaac Diaz Pardo, grande figure de la cause galicienne disparu le 5 janvier.
Cérémonie officielle à la Cité de la Culture à Santiago où la famille dont son fils Xosé Diaz, ses amis se sont retrouvés en présence du président de la Xunta Alberto Nuñez Feijóo qui a souligné l’engagement d’Isaac pour la Galice. « Il nous a laissé un immense héritage artistique et a promu des années durant la conception actuelle de la culture en tant que capital social et économique ». Le Président du Conseil Culturel Ramón Villares, la poétesse Luz Pozo et de nombreux intervenants ont souligné l’apport de « cet homme bon et généreux, fils de l’exil, ami, patriote ... qui voulu construire un futur pour la Galice mémoire mais sans sectarisme ». Susana Seivane a interprété l’hymne galicien durant cette cérémonie
D’autres cérémonies ont eu lieu notamment à Sada et au Museo do Pobo dont il fut l’un des initiateurs.
El Museo do Pobo Galego se suma a los actos de homenaje a Isaac Díaz Pardo.
El Museo do Pobo Galego rindió un homenaje póstumo a Isaac Díaz Pardo, miembro fundador y presidente de su patronato. En la presentación del acto y en nombre de la institución, Xosé Ramón Fandiño hizo un repaso por la vida y obra del artista e intelectual, fallecido el pasado 5 de enero, al que definió como “una torre de ética por encima de todo”. Entre los asistentes al acto figuraban también el conselleiro de Cultura y Educación, Jesús Vázquez, y el secretario xeral de Cultura, Anxo Lorenzo, así como el alcalde de Santiago, Gerardo Conde Roa.
Fandiño, biógrafo del fundador de Sargadelos, resaltó el nacimiento de Díaz Pardo, en 1920, en el hogar en que su padre, Camilo Díaz Baliño, había instalado su taller, punto también de encuentro de la intelectualidad galleguista de la II República, desde Castelao o Anxel Casal hasta los más jóvenes de la generación del Seminario de Estudos Galegos.
Recordó también, tras julio de 1936, en que “se rompieron todas las utopías de la infancia”, la trayectoria de Díaz Pardo, sus estudios de Bellas Artes, su dedicación íntegra a la pintura y su abandono de esta etapa para regresar a Galicia e iniciar la de ceramista, primero en O Castro de Samoedo y después en la Fábrica de Porcelanas Magdalena, en Argentina, donde entra en contacto con Seoane y el exilio.
Fandiño subrayó que la decisión de Díaz Pardo de viajar a Argentina fue más que “ampliar la experiencia del proceso industrial de O Castro”, pues “resultó ser una decisión de profundas consecuencias para la cultura gallega”.
Entre esas consecuencias, figuran la creación en 1963 del Laboratorio de Formas de Galicia, vivero de ideas del que después nació todo el entramado que constituye la marca Sargadelos y la unión de dos personalidades, Seoane y Díaz Pardo, que, para el presentador del acto, “posibilitó que surgiese la propuesta cultural más importante y trascendente de cuantas se hayan hecho en la Galicia posterior al año 36”.
El recuerdo del Museo do Pobo Galego a su patrón fundador contó con la música de Mini y Mero y Bach, compositor preferido del intelectual homenajeado, en la flauta de Luis Soto, de la Real Filarmonía de Galicia.
El “Día Internacional de la Lengua Materna” fue celebrado en Galicia con muchos actos. Éste es el tercer año que Galicia se suma a este día conmemorativo que la Unesco estableció en 1999.
Así, hubo un certamen oficial en la escuela infantil Príncipe Felipe de Pontevedra con el conselleiro de Cultura y Educación, Jesús Vázquez quien declaró que “ La Xunta de Galicia tiene como responsabilidad "cuidar y potenciar" la lengua propia de la comunidad”. Y señaló : "es una cuestión que depende de toda la sociedad. Son los propios ciudadanos quienes tienen en mano su defensa. La sociedad es la que tiene que asumir que la herencia que les dejemos a nuestros niños o las generaciones futuras va a ser un trabajo conjunto de toda la sociedad, principalmente de las familias".
“Cuando se entiende que las lenguas no son propiedad de nadie, sino de la sociedad, sino del pueblo, cuando la sociedad evoluciona y hay un mundo cada vez más global que necesita precisamente de ese plurilingüismo, entendemos que esa conflictividad desaparece", indicó. De esta forma respondió tanto a los sectores de la sociedad que sostienen que el gallego está amenazado en Galicia, como a los que aseguran que esta amenaza planea sobre el castellano.
Así, reseñó la importancia de "abrir a las niñas y a los niños las puertas del gallego como primer paso para abrírselas al plurilingüismo". "Ése es nuestro objetivo: contribuir al esfuerzo común por el futuro de nuestros pequeños, un futuro que ha de conjugarse, también, en gallego", reiteró. Trasladó esta loa a toda la cultura propia de Galicia, en tanto que "patrimonio que debemos transmitir a las próximas generaciones. Esta tarea de transmitir la lengua es compartida por familias y docentes, con un papel fundamental de las escuelas infantiles ".
El acto concluyó con un concierto musical para bebés, 'Arrolos no colo da fala', a cargo de los músicos Xabier Díaz y Guillerme Fernández.
KENAVO XOSE MANUEL:
A la muerte de Isaac Díaz Pardo a principios de año se une el fallecimiento de Xose Manuel Seivane, cada uno en su ámbito pero los dos grandes de la cultura y tradiciones gallegas. Xose Manuel Seivane, el stradivarius de la gaita, precursor de una de las sagas más importantes de gaiteros y obradores de Galicia nos dejó en Cambre (Coruña) a los 90 años de edad.
Peu de temps après avoir fêté en septembre son 90° anniversaire entouré des siens et de ses nombreux amis, Xosa Manuel Servane nous a quitté.
Xosé Manuel Seivane Rivas est né dans la paroisse de Pastoriza, mairie de Fonmiñá, province de Lugo. Il a construit sa première gaita en 1939 dans un petit atelier situé dans ce petit lieu dans la secteur de Terra Chá. Il créa ainsi le premier sceau «Seivane» Déjà gaiteiro et clarinettiste, il accomplissait ainsi son rêve d’enfance: se fabriquer lui-même son propre instrument.
Son père Francisco, grand ébéniste, et sa mère Estrella dotée d’une merveilleuse oreille musicale, lui apportèrent de très solides bases pour développer toute sa capacité artisanale. De son père, il a hérité la technique, les outils et les bois, et, de sa mère, la sensibilité musicale, spécialement en ce qui concerne l’accord et l’intonation. C’est d’elle également qu’il a reçu des mélodies de gaiteiros déjà disparus, comme Curuxeiras, né à Pastoriza.
Pendant son service militaire à Pontevedra, il a contacté l’artisan Antón Represas, appelé «O Marreco» Avec lui, il eut l’occasion de partager des expériences et des connaissances tout en l’aidant à fabriquer différentes gaitas pour l’armée.
Ce fut le début d’un difficile chemin puisqu’en pleine guerre civile, l’achat d’un objet pour le loisir n’était guère pris en considération. À cette époque, les gaitas étaient construites par des ébénistes tourneurs. Les gaiteiros les accordaient et faisaient leurs propres anches. Alors que très peu de personnes réunissaient la double condition de fabricant de gaitas et de gaiteiro; l’une d’entre elle fut sans aucun doute, Xosé Manuel.
De cette façon, il réussit à rassembler les conditions nécessaires afin de développer la technique constructive basée sur un sentiment musical profond. Ses espérances s’accomplissent et des années plus tard il se marie et s’établit à Ribeira de Piquín (Lugo) Dans un premier temps, il fournit uniquement les gaiteiros de son entourage mais, très vite, il étale davantage son champ d’action jusqu’à dépasser les limites de l’Etat. L’Obradoiro est ainsi devenu un lieu de pèlerinage pour les gaiteiros et les amateurs de la musique traditionnelle de Galice.
L’obradoiro, nous l’avons visité au printemps 2010. Alvaro, l’un des fils que nous rencontrons également régulièrement à l’Interceltique, nous a expliqué toute la procédure de fabrication d’une gaita et aussi évoqué les souvenirs de familles. Ce n’est pas sans une émotion certaine qu’il nous a montré la gaita que son père avait construite pour sa petite fille, Susana, alors âgée de cinq ans. Depuis, Susana a su se montrer digne de son grand-père pour qui elle manifestait une grande affection. Sans doute, Xosé Manuel entendra de son repos éternel les notes qui monteront vers lui, notes que Susana lui enverra comme d’innombrables baisers.
Pierre Joubin.
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La Galice au FITUR de Madrid:
La Galice au FITUR de Madrid:
Turgalicia a installé un stand de 1420 m2 lors du Salon International du Tourisme (FITUR) à Madrid.
Innovation pour ce salon, la présentation de 14 “geodestinos” nouveau concept de promotion touristique consacré aux principales zones, à savoir Rías Altas, Costa da Morte, Terras de Santiago, Mariña Lucense, Lugo y A Terra Chá, Ancares-Courel, Ribeira Sacra, O Ribeiro, Terras de Ourense y Allariz, Celanova-A Limia, Verín-Viana, Manzaneda-Trevinca, Rías Baixas y Deza-Tabeirós. Le thème général mettant en valeur les ressources étant “¿Galicia, me guardas el secreto?”, qui met en lumière des insinuations et des secrets ( à demi dévoilés) afin d’éveiller la curiosité du public.
De même le stand a présenté la Cité de la Culture et levé le voile sur le 800° anniversaire de la Cathédrale de Santiago.
Les quatre provinces ont ainsi pu présenter leurs patrimoines respectifs sous tous leurs aspects. Pour Lugo, une brochure en galicien, castillan et anglais (mais pas en français ...) invite à un parcours gastronomique au long de neuf routes.
Ourense a également porté ses efforts sur la gastronomie et notamment le salon Xantar ( qui s’est tenu du 1er au 5 février) et la Fête du Poulpe de O Carballiño.
Notons la participation de Vigo, de la Terra Cha, Ferrol, Fisterra, les Rias Baixas et As Pontes.
As Pontes presentou en FITUR 2012 a súa importante oferta turística:
As Pontes ven de posicionarse no difícil mercado turístico, no que é o primeiro paso dun proxecto que suporá unha forte aposta por este eido como fonte de dinamización socioeconómica da zona.E facíao da man da concelleira de Turismo, Ana Pena, que levou a proposta pontesa á Feira Internacional do Turismo de Madrid (FITUR), onde As Pontes foi un dos concellos que realizaron presentación propia no posto de Turgalicia.O pasado venres a oferta de coñecer As Pontes captou a atención de algo máis dunha vinteNa de asistentes, en xeral profesionais do turismo, que se achegaron a coñecer unha proposta que apostou pola orixinalidade na súa presentación.Mediante unha dramatización que serviu para a entrada, e posteriormente como fío condutor do acto, o mesmo Conde Rodríguez de Valcárcel, expuxo as particularidades desta vila que xa foi nos seus intres, terra de paso, e referente do turismo de repouso, para ir dando paso a senllos vídeos nos que se explicaba, nun como é o noso concello, e que ten que ofrecer ó visitante, e no outro o ambicioso proxecto do lago que ocupará o oco da mina de carbón hoxe clausurada.Apostando por facerse un oco no copado sector turístico, As Pontes aposta pola singularidade dun espazo que se debe converter nun destino natural cun patrimonio importante canto a cultura, arqueoloxía, gastronomía, ou festas entre outros. De calquera xeito,a maior aposta está na capacidade dun concello, que sufriu moitas transformacións, pola acción do home, en manter a súa esencia, seguindo a ser un destino dende o punto de vista medioambiental, cunhas grande potencialidades.A edil de Turismo estivo acompañada pola responsable de Cultura, Sara Ramos, nunha poñencia final na que espertou o interese dos asistentes, entre os que non se deu o apoio de representantes de outras Administracións, como si aconteceu con Ferrol, Ortigueira, ou Terra Cha, malia o que entre os asistentes se producían xa os primeiros contactos para poder trasladar esta oferta que presenta As Pontes a outros foros. A presenza en Fitur completouse co reparto duns folletos, que de camiño se esgotaron, baixo o lema, As Pontes, camiño do Eume, e coa entrega de uns agasallos que incluían, xunto coa información de interese, unhas mostras de produtos gastronómicos da zona. A intención da nova concelleira de Turismo é levar adiante, en todos os foros posibles, esta aposta decidida por seguir no deseño de estratexias de futuro de cara a converter este sector, aproveitando o tirón do lago, nunha fonte de recursos para o pobo.
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(MEDIA ?) VUELTA 2012 :
La Vuelta 2012 sera « nordiste » puisque toutes les étapes se dérouleront au nord de Madrid, montagnarde et galicienne puisque cinq étapes parcourront la Galice.
28 août, Ponteareas-Sanxenxo, 166 kms.
29 août : Cambados-Pontevedra, 40 kms individuel contre la montre.
30 août : Vilagarcia de Arousa-Mirador de Ezaro, 185 kms.
31 août : Santiago de Compostela-Ferrol, 173 kms.
1er septembre : Palas de Rei-Puerto de Ancares, 152 kms.
http://www.lavuelta.com/ Lumières du Monde: une exposition de Anxo Rial.
Le musée de Pontevedra a accueilli l’exposition du photographe Anxo Rial, natif de Vigo.
Journaliste producteur de programme à la radio Cope, photographe professionnel, titulaire de nombreux prix lors de concours consacrés au monde de la nature dont le “Marathon photographique de Vigo”, prix de la photo de montagne Desnivel ainsi que lauréat du Mémorial Maria Luisa. Sa passion pour les voyages, l’aventure et la montagne l’a conduit à parcourir le monde et travailler pour de grandes revue telles National Geographic, Desnivel, El Pais-Aguilar, Géo ... en privilégiant la montagne, des Pics d’Europe à la Nouvelle-Zélande en passant par la Cantabrie, le Pérou les Pyrénées ou l’Afrique du sud.
L’exposition « Luces do mundo" est une invitation à découvrir, regarder, regarder encore notre monde. Une série de photos qui nous conduisent de la Galice aux cinq continents avant de revenir à Pontevedra. Des images spectaculaires, curieuses, amusantes, de petits bouts du monde qui apportent sérénité et tranquillité au visiteur.
http://www.anxorial.com/ COURS D’ETE DE L’UNIVERSITE DE SAINT JACQUES DE COMPOSTELLE :
Comme chaque année l’université de Saint Jacques de Compostelle organise des cours de langue et culture pour étrangers. En voici le programme et les modalités.
Los cursos se celebran de junio a septiembre. La duración mínima de un curso es de dos semanas. El alumno puede realizar el curso completo o incorporarse al inicio de cada quincena.
El programa comprende tres horas diarias de lengua española y una hora de seminarios de cultura española para los alumnos de niveles intermedio y avanzado, o de talleres de lengua para los estudiantes de niveles iniciales. Los niveles se adaptan al MCREL (Marco Común de Referencia de las lenguas) y se requiere un número mínimo de alumnos por nivel para formar un grupo.
El número máximo de estudiantes por grupo para las clases de lengua es 15. Por las tardes se organizan actividades culturales opcionales y tutorías.
Al matricularte tienes la oportunidad de hacer un curso a tu medida al elegir entre los diferentes talleres y seminarios que te proponemos. Nuestros seminarios de cultura tienen un número limitado de plazas y un mínimo de 15 estudiantes por grupo. Para participar en los seminarios, es necesario tener un nivel B2 (avanzado) de lengua española.
Los días festivos estatales, autonómicos o locales no son días lectivos por lo que no habrá clase.
Fechas de incorporación al curso de verano 2012: 4, 18 de junio / 2, 16, 30 de julio / 13 de agosto / 3, 17 de septiembre.
Precios del curso: Tasa de inscripción: 190 €
Curso de 2 semanas: 345 € Curso de 4 semanas: 630 € Curso de 6 semanas: 870 €
Et aussi un cours de gastronomie !
Ce cours d'espagnol et de gastronomie a pour objectif un parcours de la richesse de la gastronomie espagnole à travers la langue et s'introduire plus particulièrement dans le régime atlantique en partenariat entre les cours d'été de l'université de Santiago et le Centre Supérieur d'hôtellerie de Galice. Deux semaines du 19 mai au 1er juin
Différents ateliers: œnologie, tapas, desserts et chocolaterie, riz. Visite guidée de St Jacques mais aussi la Route des Vins de la Ribera Sacra les Rias Baixas, sans oublier ... la queimada !
Le tout (logement, cours, excursions ...) pour la somme de 1600 €.
Pour toute précisions, contacter : http://cursosinternacionales.usc.es/ linguas@usc.es
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Manuel Rivas, docteur honoris causa de l’Université de la Corogne.
C’est le 23 mars que Manuel Rivas sera intronisé docteur honoris causa de l’université de La Corogne qui considère qu’il est le plus important auteur galicien contemporain et l’un des plus créatifs comme le prouve son travail de journaliste, narrateur et poète.
Depuis ses premières collaboration à l’âge de quinze ans dans El Ideal Gallego, il a donné de nombeux ouvrages récompensés par les prix les plus prestigieux : Galicia, bonsái atlántico; Toxos e Flores; Un millón de vacas, Qué me quieres, amor?(dont la nouvelle « La lengua de las mariposas »), El lápiz del carpintero, Los libros arden mal ...
Nous y reviendrons dans notre prochain bulletin.
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ENTROIDOS-CARNAVALS : DE DOUARNENEZ A VERIN ....
La période février-mars est celle des carnavals, fêtes populaires ou au sortir de l’hiver, l’on célèbre le nouveau, la renaissance de la nature tout en se moquant des grands de ce monde et il y a toujours une victime expiatoire que l’on brûle dans l’allégresse populaire. Nous retiendrons deux carnavals parmi de nombreux autres, celui de Verin et celui de Douarnenez.
El Entroido de Verin : fariñadas et Cigarrón.
Le carnaval de Verin petite station connue pour ses eaux et ses vins, est l’un des plus populaires de Galice. Le carnaval y respecte la tradition, mais se caractérise également par l’imagination créative des habitants, l’ironie et la populaire “retranca ” (cachotterie), caractéristiques des déguisements du carnaval de Verín La fête commence le matin du fameux « Dimanche de Corredoiro » avec le tintamarre des fusées, les charangas et la première concentration de cigarrones personnages burlesques qui caricaturent les percepteurs d’impôts des comtes du château. Leur curieux costume pèse 25 kgs et ceux qui le portent ont cela dans le sang, s’agissant d’une tradition qui se transmet de père en fils. C‘est tout un honneur, un orgueil même. Et le porter n’est pas de tout repos compte-tenu du poids des sonnailles, du masque en bois et des accessoires qui ornent le costume mais gênent la mobilité.
Ce même jour, en début de soirée, se tient sur la grand place le premier bal masqué et la première « fariñada » (bataille de farine). Cependant, l’inauguration officielle du carnaval ne se produit que le « jeudi des comadres » : les femmes, laissant les hommes à la maison, se déguisent et sortent dîner ; à minuit, la foule se rassemble dans les rues pour accueillir le cortège du carnaval et écouter le discours qui laisse place à l’allégresse générale. Pendant ces journées de fête, se succéderont les batailles de farine, les bals masqués, les défilés de comparsas et charangas, les concours et dégustations de produits typiques, etc. Le jour le plus intense est le dimanche, puisqu’à midi se tient le grand défilé des chars, comparsas, masques et cigarrones.
Et qui dit Carnaval dit aussi gastronomie : la “cachucha” (tête salée du porc), les “androllas” (charcuterie), le cocido et les desserts tels que les “orellas” (merveilles) et les “filloas” (crêpes salées), les « fleurs de carnaval » (beignets aux formes diverses) tout cela arrosé avec les vins de la zone.
Les Gras de Douarnenez : Den Paolig
Le Carnaval de Douarnenez est également réputé. Si l'origine de la tradition se perd dans le temps, il est mentionné pour la première fois dans un arrêté municipal daté du 1er mars 1835.
A partir du milieu du XIXème siècle, la prospérité engendré par la pêche à la sardine a attirée une population de l'extérieur, qui a très vite rendu la ville surpeuplée, favorisé les activités de rues. De cette conjonction d'une convivialité est né un sentiment fort d'appartenance à une communauté douarneniste, doublé d'un solide sens de la fête.
Faire la fête pendant cinq jours (du samedi au mercredi) c'est ce qui fait des Gras un des plus grands carnavals bretons accueillant des milliers de participants de toutes les générations.
A l'origine, le mardi-gras symbolise le passage d'une période où l'on mange gras à une période où l'on mange maigre (le Carême). A Douarnenez, cette signification religieuse se double d'une signification plus locale. Pour les Douarnenistes, c'est aussi l'occasion de fêter la fin de l'hiver durant lequel les pêcheurs ont peu travaillé.
Tout commence le samedi avec l'intronisation du Den Paolig, symbole emblématique de la fête, le Den Paolig (pauvre homme en français) est le roi du carnaval. Il figure une personnalité locale reconnaissable et bien souvent connue des Douarnenistes. Fabriqué en papier mâché, d'une hauteur d'environ 3 mètres, le Den Paolig est suspendu au fronton des halles pour veiller sur la fête.
La journée du dimanche est la plus animée avec la traditionnelle noce des Gras.
L'après-midi, le défilé réunit tous les âges autour de costumes colorés, de chars toujours plus fous, de musique et de bonne humeur.
Le lundi se déroule la traditionnelle course interbars et le mardi soir la salle des fêtes accueille le bal costumé de « La folle nuit des Gras ». Les plus jeunes feront la fête le mercredi après-midi avec le « Bal des enfants ».
Comme le veut la tradition, le Den Paolig est brûlé dans un feu de joie sur le quai du Port du Rosmeur, juste avant le feu d’artifice final.
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LA VIE DES JUMELAGES:
LA VIE DES JUMELAGES:
TREFASTEL-FOZ :Le Comité Trégastel-Foz se rendra en Galice du 21 au 28 mai. Voyage en car via le ferry de LD-Lines.
Trois jours en familles à Foz. Au retour, étape asturienne avec visite d’Oviedo, Cangas de Onis, basilique de Covadonga.
Montant 380 euros plus suppléments optionnels.
Il reste quelques places proposées aux amis des autres jumelages. Contacter rapidement André Squéren : dede.rosy@orange.fr
LESNEVEN- AS PONTES : Lesneven accueillera, du 29 juillet au 6 août, un groupe d'une quarantaine de Galiciens d'As Pontes. La délégation sera, comme d'habitude, conduite par Anton Ferreiro, président de l'Irmandade, et Valentin Gonzalez, maire d'As Pontes, sera probablement de la partie. Comme c'est toujours le cas depuis 1991, les visiteurs seront hébergés chez l'habitant et participeront à diverses excursions de découverte de la Côte des Légendes et du Pays des Abers. Une rencontre avec le groupe de Sarria - Mur-de-Bretagne est également prévue du côté des monts d'Arrée. Par ailleurs, un programme de réceptions et de concerts agrémentera le séjour des Pontésiens à Lesneven. Une demande de subvention européenne a été effectuée pour contribuer au financement de ce nouvel échange. Le jumelage Lesneven - As Pontes a souvent bénéficié de cette aide depuis 1991 mais elle lui a été refusée en 2010 et 2011, ce qui inquiète fortement les présidents des deux comités, d'autant plus que les coûts de transport ne cessent d'augmenter. Mais ces soucis financiers n'altèrent en rien les solides liens d'amitié qui se sont établis, depuis 21 ans maintenant, entre les deux communes.
Par ailleurs, les cours du soir d'espagnol, dispensés par le Comité de Jumelage sont toujours aussi suivis : une trentaine d'élèves adultes, répartis en trois niveaux, s'y sont inscrits en septembre dernier. Lesquels ont fêté la fin de la saison 2010-2011 avec leur professeure Yvette Eouzan autour d’une queimada.
VANNES :Le collège Notre Dame le Ménimur recevra du 21 au 28 mars un groupe de l’IES Xosé Neira Vilas d’Oleiros. Les élèves seront accueillis en familles et auront des cours en commun avec les collégiens vannetais. Côté découverte, excursion au mont Saint Michel et à Carnac. Un projet Comenius Regio a été élaboré en partenariat avec la Ville de Vannes et notre Comité.
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ECHANGES SCOLAIRES :
De nombreux professeurs désirent établir des échanges avec des établissements galiciens. En liaison avec l’Inspection Académique et l’Association des Professeurs de Français de Galice présidée par Carlos Vidal, L’association compte 400 adhérents, la pluspart de l’enseignement secondaire mais aussi de du primaire, de l’Université et des EOI. Nous pouvons favoriser ces demandes et mettre en relation les enseignants des deux régions. L’on peut également consulter le site de l’APFG : http://www.galigalia.com/
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Un nouveau départ pour l’Association des Amis de Polig Monjarret.
Au-delà de son action pour la défense du patrimoine musical breton, Polig Monjarret a été l’un des promoteurs des échanges entre la Bretagne et la Galice. L’un des moments forts a été la rencontre en 1964 avec Alvaro Cunqueiro dont on trouvera le récit sur notre site http://sites.google.com/site/alvarocunqueiroetlabretagne (Voir ci-dessous).
Suite à plusieurs discusssions avec Nolwenn et Soizig Monjarret il a été convenu de donner un coup de pouce à l’Association et de participer au travail de « récupération » de ce patrimoine commun au deux régions. Nous publions ci-après un courrier de Nolwenn et engageons toutes les personnes ayant des souvenirs, des photos, des documents à nous aider dans cette noble tache.
Pierre Joubin.L’Association des Amis de Polig Monjarret a été créée à Lorient en mai 2004 quelques mois après sa mort à l’initiative du lorientais Jacques-Yves Le Touze. Cette association a reçu spontanément le soutien de nombreuses personnalités culturelles et politiques de Bretagne et des pays celtiques. Elle avait pour but à l’époque : « la réalisation d’œuvres d’art en mémoire de Polig Monjarret et de son œuvre ». En effet, l’idée de Jacques-Yves Le Touze était de mettre en place une souscription permettant la réalisation d’une statue en bronze.
Cette souscription populaire a rencontré tout de suite un immense succès. Plus de 60 000 € ont été récoltés. La Région Bretagne, les Conseils Généraux de Bretagne ainsi que les nombreuses associations et fédérations créées par Polig se sont également immédiatement associés financièrement au projet.
La statue en bronze représente Polig Monjarret, grandeur nature, assis sur un banc également en bronze sur une place du centre-ville. Les lorientais, fiers de leur festival interceltique, se sont appropriés immédiatement ce monument auquel ils sont très attachés aujourd’hui. Cette œuvre figurative réalisée par le sculpteur Bernard Potel est devenue incontournable à Lorient. Les co-présidents de l’Association étaient à l’époque Dominique Le Boucher, ancien sonneur de Bleimor, sonneur aujourd’hui au bagad de Cap Caval et Luc Offredo ancien Président de Bretagne-Irlande.
En juillet 2010, toujours sous leur présidence, l’Association des Amis de Polig Monjarret a également inauguré à Quimper, avec l’aide de la Mairie de Quimper et du Festival de Cornouailles, une plaque émaillée et illustrée, apposée sur la maison où Polig Monjarret a vécu au début des années 50 pour remercier celui qui a relancé les Fêtes de Cornouailles, les championnats de biniou koz bombarde et créé premier bagad et le premier championnat des bagadoùs.
En décembre 2011 un nouveau bureau a été élu. Le nouveau Président de l’association est Job Le Gac, ancien de la FALSAB (jeux et sports athlétiques bretons), membre de l’Institut culturel de Bretagne. Les statuts ont été légèrement modifiés comme suit : « L’association a pour but la mise en valeur et la diffusion par tous moyens de l‘Œuvre et de la vie de Polig Monjarret ainsi que la réalisation d’œuvres d’art à sa mémoire ».
Actuellement, l’Association s’attache à défendre l’image de Polig Monjarret aujourd’hui injustement mise à mal en faisant rétablir la vérité.
Nolwenn Monjarret.
Lors du voyage de 1964, Alvaro Cunqueiro avait rencontré Polig Monjarret et ils avaient posé les bases des futurs échanges culturels entre la Bretagne et la Galice.
Photo de gauche : Alvaro Cunqueiro, Zaig et Polig Monjarret à Locronan.
Photo de droite : sur les bords de la Laita, là ou devait être construit le centre musical projeté par B.A.S.
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RIONS UN PEU ….
Un agricultor Gallego y uno Argentino:
¿De qué tamaño es tu finca?' -pregunta el argentino.
Para el estándar gallego, mi finca es de un tamaño razonable: diez hectáreas; ¿Y la tuya ?
El argentino contesta: -"Mira, yo salgo en la mañana en mi jeep y al mediodía todavía no he recorrido la mitad de mi finca".
Y el gallego responde: - "Yo también tuve un jeep argentino... ¡Son una mierda!"
Prochain bulletin : 1er Mai.
Ce bulletin vous est ouvert, toutes vos contributions seront les bienvenues.
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