vendredi 1 novembre 2013


COMITE
BRETAGNE-GALICE

Kevredigezh Breizh-Galiza

Asociación Bretaña – Galicia

Bulletin N° 25 – Novembre 2013
                     Siège : Mairie de Mur de Bretagne – 22530.
Adresse postale : 3 Rue Yves de Kerguélén – 56000 Vannes.    Téléphone : 02.97.40.72.40.
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CREATION D'UNE ASSOCIATION DES PROFESSEURS D'ESPAGNOL DE BRETAGNE:

Le projet de création d'une association des professeurs d'espagnol de Bretagne  (APEB) est devenu réalité le 20 septembre à Vannes lors d'une réunion tenue en présence de Madame Latifa Bakthous, maire-adjointe chargée de l'enseignement, Pierre Joubin et Agnès Le Lay respectivement président et secrétaire du Comité Bretagne-Galice président et secrétaire du Comité Bretagne-Galice et Mme Catherine Le Blay, professeure à Vannes.
 
C'est la première réalisation concrète du Programme Comenius Regio "Echangeons nos échanges"  élaboré il y a un an par le Collège Notre Dame le Ménimur de Vannes, la Ville de Vannes et notre Comité, d'une part, et coté galicien, l'IES Neiras Vila d'Oleiros, la Xunta (Conseil Régional de Galice) et l'Association des Professeurs de Français de Galice qui regroupe 400 adhérents.
L'idée qui a fondé le programme était de faire une analyse de l'échange scolaire qui se poursuit avec succès entre les deux établissements depuis 25 ans, de mettre en lumière la formidable richesse humaine et culturelle qui en a résulté, mais aussi les difficultés rencontrées et ce afin de promouvoir les échanges en traitant directement entre enseignants sans passer par des organismes mercantiles pour lesquels le côté pédagogique n'est pas le souci premier, plaçant les enfants dans des familles contre rémunération comme cela se pratique couramment en Grande Bretagne au détriment d'un accueil familial plus chaleureux car librement consenti. Les deux associations pourront ainsi mettre en relation les professeurs et établissements (tant publics que privés) désireux de réaliser des échanges scolaires, en familles afin de favoriser une véritable immersion linguistique, comme cela se pratique habituellement au travers des jumelages. Ces échanges, dans le cadre des programmes européens,  participeront ainsi dans le respect et la promotion des cultures de chacun au resserrement des liens d'amitiés entre les deux régions.
Notons que l'anglais est omniprésent en Espagne où de nouvelles dispositions gouvernementales tendent à l'imposer comme première langue vivante obligatoire, les autres langues étant optionnelles. L'allemand est en développement du fait de l'exode économique de nombreux jeunes. Cette situation est préjudiciable à l'épanouissement de la diversité culturelle et tend à un nivellement, à un appauvrissement généralisé en totale contradiction avec les grandes orientations en matière de citoyenneté européenne, de solidarité internationale et de respect du pluralisme culturel.
 L'Association a adopté ses statuts et élu un Conseil d'Administration présidé par Catherine Le Blay, professeure au Collège Notre Dame le Ménimur de Vannes.
Parmi les premiers objectifs, l'organisation de Journées de la Bretagne à la mi-octobre à Saint Jacques de Compostelle (voir ci-dessous) et de Journées de la Galice à Vannes début mars 2014, la participation au 3° Congrès des Jumelages de l'Ouest - qui se tiendra le samedi 30 novembre à Pontivy- et au Forum des Langues organisé par le Bureau Info Jeunesse de la Ville de Vannes le 15 février permettront des rencontres avec toutes les personnes intéressées. Et l'Association est d'ores et déjà invitée au Congrès des Professeurs Galiciens les 6 et 7 juin 2014.

UNE JOURNÉE DE LA BRETAGNE SANTIAGO:
C'est dans le cadre du programme Comenius Regio "Echangeons nos échanges" que s'est tenue au Conservatoire de Musique de Saint Jacques de Compostelle, vendredi 18 octobre, une "Journée de la Bretagne". Ce programme porté côté galicien par la Xunta (Conseil régional), l'association des professeurs de français (APFG), les collèges Neiras Vila d'Oleiros et Monte Neme de Carballo et côté breton par la Ville de Vannes, le collège Notre Dame le Ménimur et le Comité Bretagne-Galice vise à  favoriser les échanges scolaires entre les deux régions en s'appuyant sur l'expérience des établissements partie prenante qui depuis 25 ans maintiennent avec succès des échanges très réguliers et toujours très enrichissants à l'initiative notamment de Madame Catherine Le Blay et Monsieur Carlos Vidal.
La journée a débuté par une matinée consacrée aux élèves apprenant le français; en soirée une séance plus ouverte s'est tenue à destination des professeurs et des personnes intéressées par ces échanges.
Une présentation de la Ville de Vannes par Madame Anne-Marie Avril, puis de son service Jeunesse par Madame Bénédicte Barre-Villeneuve et Monsieur Serge Laudic, la prestation d'un couple de jeunes sonneurs du Bagad Er Melinerion, une intervention de plusieurs élèves qui ont fait part de leurs appréciations (très positives) sur les échanges, des contes bretons proposés par Monsieur Antoine Peralta et un exposé sur la langue bretonne par Madame Lena  Kerhoas ont été des moments forts de la journée.
Une petite exposition a été présentée et des pochettes contenant des documents touristiques de notre région remises aux participants.
La veille, la délégation vannetaise a été reçue au siège de la Xunta par sa présidente Madame Pilar Rojo puis au Conseil Culturel de Galice par Messieurs Francisco Diaz-Fierros et Marcelino Fernandez.
En février une journée de la Galice sera organisée à Vannes.
Notons que la création de l'association des professeurs d'espagnol de Bretagne (APEB) est la première réalisation concrète du programme qui enregistre déjà un nouvel échange impliquant le collège de Pluvigner et celui de Barro (Pontevedra).
Toutes informations sur le blog http://galiregio.blogspot.com

 
Lors de la Journée de la Bretagne à Santiago le 18 octobre, Pierre Joubin a rencontré des responsables de la Hermandad As Pontes-Lesneven (photo): Charo Cuba Penabad, Angel Casado Prieto, Rosario Peña Pérez,  Ana Seijo Cuba, Manuel Seijo Sabín.

 

3° CONGRÈS DES JUMELAGES DE L'OUEST:
Le 3° Congrès des Jumelages de l'Ouest se tiendra samedi 30 novembre au Palais des Congrès de Pontivy.
Ouvert à tous les acteurs des relations internationales (élus, responsables des comités de jumelage et d'associations de solidarité internationales,  responsables d'établissements scolaires), il permettra, prenant appui sur les conclusions et les retours du deuxième congrès, de faire le point sur les échanges, de les valoriser et de lancer une dynamique.
Il s'organisera de la façon suivante:
 -8H45 Accueil des participants
 -9H30: Séance plénière. :
    * Allocutions de bienvenue de Mr Mickaël Le Botlan, Président du comité des jumelages et amitiés des Pontivyens et du Collectif Pontivy Cité Internationale
     * Intervention de Mle Léocadie Creach, 21 ans, et Mr Arthur Bricet, 17 ans, sur le dialogue intergénérationnel
      * Débat libre entre les participants (sujets à choisir par les participants ).
Après le repas, différents ateliers seront proposés:
       * Les relations municipalité/association de jumelage
: animé par Mesdames Monique Latour et Michèle Cornic, de l'AEIN de la Roche Sur Yon et Mr Tarek Tarrouche, Maire-Adjoint de la ville de la Roche Sur Yon.

       * Les finances : Mme Marion Baby du CIDEM, et Mme Helga Treiber, évaluatrice de dossiers de demande de subventions européennes, aborderont le côté pratique de la demande de financement.
        * Les langues étrangères, - Mr Alain Roy,  responsable des cours de langues au sein de l'association de jumelage de la Roche Sur Yon, nous présentera les différentes facettes de l'enseignement des langues étrangères au sein de l'association. Notre Comité et la toute nouvelle Association des Professeurs d'Espagnol de Bretagne participeront à cet atelier.
        * La solidarité internationale : un représentant de la Coordination des Associations de Solidarité Internationale, nous invitera à réfléchir sur le "jumelage coopération" ou comment créer des liens avec un partenaire du sud
       * Les jeunes: Mr Vincent Calvez, Président du comité de jumelage Plescop-Nisipari, nous invitera à impliquer les jeunes dans nos associations et sera assisté de Mle Léocadie Creach et Mr Arthur Bricet, jeunes ambassadeurs de l'OFAJ en Bretagne.
       * Les réseaux sociaux: Messieurs Bouthier et Savaire du Centre Régional Information Jeunesse nous présenteront les réseaux sociaux et les nouveaux moyens de communication utilisés de nos jours
En fin d'après-midi, restitution des ateliers, questions / réponses.
Fin du Congrès à 18heures.
Pour tout renseignement, se reporter au site www comitedejumelage.eu ou contacter Mickael Le Botlan au 02.97.25.40.00. ou par courrier électronique  president@comitedejumelage.eu  

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EN BREF:

Luz Casal : le retour.
Six ans après "La Pasión",  Luz Casal effectue son retour avec un album "Almas gemelas" dont le premier titre s'intitule ¿Por qué no vuelves amor?
L'album qui sera disponible pour les fêtes de fin d'année, comporte deux éditions: la première avec dix chansons en espagnol, la seconde des thèmes interprétés en portugais, en italien et en français. Luz y explore sur fond pop-rock de nouvelles expressions qui reflètent sa constante inquiétude face aux drames de la vie. Rappelons que Luz, qui a réussi a vaincre la maladie, organise dans on village de Boimorto un festival de musique destiné à collecter des fonds en faveur de la lutte contre le cancer.

La Commune de Lalin (Pontevedra) propose des cours de chinois depuis le mois d'octobre: Lalin est l'une des deux communes galiciennes à offrir des cours de chinois.

Jorge Coira, pour son film "18 comidas", a reçu le prix du meilleur film de repas du Douro (catégorie dédiée uniquement aux films en relation avec la gastronomie) lors du Festival de Porto.

Ulysse de James Joyce en galicien: les éditions Galaixia viennent de publier au terme de huit ans de travail une traduction en galicien de l'œuvre de James Joyce.
Una plataforma para producir energía marina
Astilleros Francisco Cardama iniciarán a comienzos del próximo año la contrucción de una plataforma para producción de energía marina. El proyecto, de tres millones de euros, ha sido encargado por la empresa Magallanes Renovables. La plataforma, de 40 metros de eslora y 25 de manga con tres cascos en forma de trimarán, tendrá dos rotores que se orientarán hacia las corrientes marinas para producir energía. En el diseño ha intervenido la empresa de ingeniería CNV Naval Architects.La idea de los promotores del invento es probarlo en el estrecho de Gibraltar, una zona de fuertes corrientes marinas. El objetivo del astillero es tener terminada la construcción a finales del año 2014.

                                                     Según La Voz de Galicia - 30 Septiembre 2013.

 
VISITE A VIGO DE Mr CUVILLIER, MINISTRE DES TRANSPORTS ET DE LA MER:
Alors que la première autoroute de la mer  entre Gijón et Nantes Saint-Nazaire vient de fêter son troisième anniversaire, celle entre Vigo et le même port français vient de recevoir, à nouveau, le soutien officiel des deux gouvernements, français et espagnol, à l’occasion de la visite de Frédéric Cuvillier Ministre des Transports, de la Mer et de la Pêche à Vigo, le 4 octobre 2013.
Le Ministre a rencontré Mme Ana Pastor, Ministre de l'Equipement, afin de préparer le prochain sommet franco espagnol et renforcer les liens entre Vigo et la France, notamment avec la ville de Boulogne-sur-Mer, grand port de pêche (mais où est Lorient officiellement jumelée avec Vigo ?) dont il a été députe-maire. Le gouvernement français et son homologue espagnol ont redit leur soutien au projet déjà ancien d'autoroute de la mer entre les ports de Vigo et de Nantes Saint-Nazaire. Reste à obtenir les subventions Marco Polo de l'Union européenne.
Au cours de son séjour, M. Cuillier a visité l'agence communautaire de contrôle de la pêche, les installations du port de Vigo, rencontré la délégation française de Capécure 2020 et l’association Bluefish (qui promeut la pêche durable et responsable) et des mytiliculteurs (photo).
M. Cuvillier s’est également entretenu avec le maire de Vigo avant de visiter l'usine PSA Peugeot Citroën.
Original :

PORTRAIT/RETRATO:  SANTY GUTIERREZ.
Santy Gutierrez est bien connu des lecteurs de la presse galicienne. Chaque jour, il illustre l'actualité et aborde les sujets les plus graves avec beaucoup d'humour. Il se présente ainsi sur son site:
"En septiembre de 1993, hace ya la friolera de 20 años, publiqué mi primer dibujo remunerado en el periódico “El Correo Gallego”. Y desde entonces no he parado. Acabo de cumplir 20 años como profesional y en este tiempo he tenido clientes que se han convertido en amigos, he conocido a colegas que ya son casi familia y a mucha gente magnifica que me ha acompañado en algún momento por este camino sembrado de dibujos. Y sobre estos cimientos hechos de papel y tinta he construido una hermosa familia a la que adoro. Veinte años dan para mucho. A todos, GRACIAS".
Santy Gutierrez se dedica profesionalmente al dibujo desde 1993, realizando diariamente desde entonces miles de viñetas de humor gráfico y caricaturas de prensa para multiples cabeceras de ámbito autonómico y nacional, e ilustrando artículos, reportajes, libros y cómics para revistas y editoriales, y realizando dibujos de campañas gráficas y animación para empresas de publicidad y productoras de audiovisual. Es miembro fundador del estudio Baobab y presidente de la AGPI desde enero de 2008.       www.santygutierrez.com

Original :





 

RAMON VILLARES REIVINDICA UNA CULTURA MAS BASADA "EN EL HACER QUE EN EL SER" EN EL 30° ANIVERSARIO DEL CCG:

El presidente de la Xunta, Alberto Núñez Feijóo, afirmó el 27 de septiembre que gracias a su cultura Galicia “es libre y está viva” y mostró su convencimiento de que con su apoyo saldrá también de la crisis. “Galicia está viva y, en ningún caso, menos que en sus mejores tiempos. Galicia hoy es dueña de sí; tiene blindado su autogobierno; y Galicia saldrá [de la crisis] y para salir necesita la cultura”, aseveró, durante el acto conmemorativo del 30º aniversario de la creación del Consello da Cultura Galega, en el que también estuvieron presentes la presidenta del Parlamento de Galicia, Pilar Rojo; el conselleiro de Educación y Cultura, Jesús Vázquez; el delegado del Gobierno en la comunidad, Samuel Juárez; el presidente del Consello da Cultura Galega (*), Ramón Villares, así como figuras destacadas del ámbito de la cultura y de la sociedad de Galicia, entre los que estaba el arzobispo de Santiago, Julián Barrio.

Después de destacar que “la cultura nos hace inmortales y nos hace también libres. La cultura es libertad y la libertad resulta incompleta sin cultura”, Feijóo dijo que la cultura en la Comunidad gallega es sinónimo del Consello.
La cultura nos ayudó a resistir en los momentos en que esa libertad agonizaba. Fue la cultura esa antorcha encendida que nos permitió soñar con nuevos horizontes, el salvavidas que impidió que la esperanza muriese”, añadió.
Para Villares, el Consello da Cultura Galega debe ser una institución más basada “en el hacer que en el ser”, y por lo tanto, con gran capacidad de iniciativa y de servir de vínculos entre la sociedad y sus instituciones. Villares destacó también la gran capilaridad cultural de la cultura gallega pero señaló que “precisa una presencia institucional”.
El presidente del CCG destacó que el “nacimiento del CCG mana de las mismas fuentes en las que nace el río de la autonomía”, pero adaptándose a los tiempos. “La idea de preservar los valores culturales del pueblo gallego fue desarrollada”, señaló Villares, quien destacó la proximidad al sector de la cultura como uno de los retos: “El sector demanda más confianza en el porvenir”, destacó.

 (*) El Consello da Cultura Galega fue creado conforme al artículo 32 del Estatuto de Autonomía de Galicia. El Parlamento de Galicia aprobó la Lei do Consello el 8 de julio de 1983. Desde entonces y hasta el presidente actual, Ramón Villares, el CCG tuvo cuatro presidentes, figuras imprescindibles de la cultura gallega en la historia del siglo XX: Ramón Piñeiro, Xosé Filgueira Valverde, Carlos Casares y Alfonso Zulueta de Haz.

30 Septiembre 2013.

Inauguration du cycle "Rosalia de Castro: tradition et modernité":
Le ministre de la Culture, l'Education et des Universités de Galice, Jesus Vazquez Abad, a présenté  à Madrid, le cycle "Rosalia de Castro: Tradition et Modernité»,  en présence du secrétaire général de la Culture, Angel Lorenxo, du directeur culturel de l'Instituto Cervantes, Montserrat Iglesias, et du vice-président du Conseil de la culture galicienne, Rosario Alvarez Blanco et du chanteur Amancio Prada (photo) qui a interprété plusieurs poèmes de Rosalia.
Ce cycle tend à rendre hommage à Rosalia de Castro à l'occasion du 150e anniversaire de la publication du recueil de poèmes "Cantares Gallegos". Plusieurs conférences, des représentations théatrales et des expositions seront organisées à cet effet.


L'ACADEMIE ROYALE PRESENTE UN OUVRAGE FONDAMENTAL SUR LA TOPONOMIE GALICIENNE:

L'Académie Royale de Galice vient de présenter le second tome de l'étude sur la toponymie galicienne, essentiellement des toponymes de la province de Lugo,  réalisé par le prêtre Nicandro Ares, l'un des spécialistes en la matière aujourd'hui âgé de 90 ans.
Ecrit dans un style accessible et agréable non sans quelques traits d'humour, l'ouvrage est  le fruit de cinquante années de recherches qui ont débuté en 1964.
Il rassemble 178 textes (soit 1414 pages !) publiés dans divers publications comme Grial ou les Cuadernos de Estudios Gallegos, dont la dispersion des études ne facilitait pas le travail des chercheurs ou plus simplement des curieux ….
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LA VIE DES JUMELAGES:

LESNEVEN – AS PONTES: DISCULPAS – EXCUSES.
Nous avons publié dans notre bulletin de septembre un article sur la visite d'un groupe de Lesneven à As Pontes. Par suite d'une regrettable erreur nous l'avons extraite d'un article publié dans la presse galicienne lors de la précédente visite il y a deux ans. Nous présentons toutes nos excuses aux élus et animateurs des jumelages des deux communes.

En el boletin de septiembre publicamos un artículo sobre la visita de un grupo de Lesneven a As Pontes. Por error, este fue sacado de artículos de la prensa publicados dos años antes. Presentamos a los ediles y amigos de los hermanamientos nuestras disculpas.

 
LESNEVEN – AS PONTES : NOUVEAUX ÉCHANGES…
Comme tous les deux ans, un groupe de Lesneviens conduit par Claude Le Menn s’est rendu à As Pontes l’été dernier. Ils étaient une trentaine, de tous âges, à prendre le départ, en car, le 22 juillet à l’aube. Après une nuit dans un hôtel du Pays Basque espagnol, à Oiartzun, les Bretons ont repris la route en direction de Burgos, Astorga, León, Lugo… pour arriver à As Pontes en fin d’après-midi.
Accueillis par Antón Ferreiro et son équipe, les Lesneviens ont été dirigés vers leurs familles d’accueil. Le lendemain avait lieu la réception officielle à la mairie, en présence du maire Valentín González Formoso. Les deux jours suivants devaient être consacrés à la fête de la Fraga – qui rassemble des dizaines de milliers de personnes à As Pontes – mais les réjouissances ont rapidement été ternies par le tragique accident ferroviaire de Santiago. Le vendredi matin, les Lesneviens ont d’ailleurs participé, en compagnie de la population d’As Pontes, à une émouvante minute de silence, à la mémoire des disparus, sur le parvis de la mairie, tandis que les drapeaux, y compris le gwenn-ha-du, étaient mis en berne. L’après-midi, Bretons et Galiciens se sont retrouvés pour des jeux populaires sur la plage artificielle du lac qui a remplacé l’ancienne mine de lignite. La journée s’est terminée par un pique-nique.
Le samedi 27, tous ont pris part à une excursion au cours de laquelle ils ont visité les impressionnantes carrières d’ardoises de Valdeorras près d'Ourense (photo), une bodega, et les surprenantes mines d’or romaines de Las Médulas (province de León). Après une journée de dimanche en famille, le groupe a participé à une seconde excursion, sur la côte du golfe Ártabro cette fois. Au programme : visite de Sada, Lorbé, Seixo Branco, le château de Santa Cruz, le palais de Mariñan, Betanzos…
Le lendemain, les Lesneviens ont découvert, au collège Santa María d’As Pontes, une exposition très intéressante sur les écoles fondées, en Galice, par des émigrés qui avaient fait fortune en Amérique du Sud et plus spécialement à Cuba. Le mardi, veille du départ, a eu lieu la traditionnelle fête de clôture du séjour en présence du maire d’As Pontes.
Au retour comme à l’aller, le groupe a fait étape dans un hôtel d’Oiartzun, au Pays Basque. Les personnes qui participaient pour la première fois au séjour à As Pontes ont été enchantées de l’accueil reçu à As Pontes et de cette semaine de découverte de la Galice. Plusieurs se sont d’ailleurs promis de suivre, désormais, les cours du soir d’espagnol que le comité de jumelage organise, tous les ans à Lesneven, de juin à septembre. En août 2014, ce sera au tour des Galiciens de se rendre, en Bretagne, dans leur ville jumelle.

Pour l’anecdote, un nouveau lien s’est tissé entre Lesneven et la Galice : María Isabel, l’épouse d’un policier municipal affecté à Lesneven en septembre dernier, est galicienne ! Elle n’a pas été mécontente d’apprendre que sa nouvelle commune de résidence est jumelée avec une ville de son pays natal !

 
PORNIC – BAIONA:.
¿Qué tal entre Pornic y Baiona? L'année 2013 a été chargée en événements entre nos deux villes.
Pour la 5eme année consécutive, en janvier, la commission Espagne de notre association de jumelage a reçu le Directeur, Professeur et chorégraphe Eduardo Alves da Costa Lojo pour une initiation et perfectionnement à la danse traditionnelle Galicienne, la muñeira.

Les élèves étaient moins nombreuses cette année... Pourquoi? Âge des participantes, difficulté, lassitude pour certains? Notre soirée spectacle de fin de cours avec queimada, à cependant toujours du succès.

En mars, pour les fêtes de la Arribada (anniversaire de l'arrivée de la Pinta à Baiona en 1493), l'adjointe et présidente de notre association de jumelage, Christiane Van Goethem, accompagnée d'un des membres du bureau s'est rendue à Baiona où comme chaque année les élus de Palos de la Frontera et de Santa Fe de Granada, villes jumelées à caractère historique se retrouvent.
Au mois de Mai, pour le weekend de l'Ascencion Josiane Koch et moi même, ainsi qu'un couple de parents, avons accompagné 6 enfants du club nautique de Pornic, invités à participer à une très importante régate interclubs de Galice, organisée par Baiona.
Tous sont rentrés enchantés de l'accueil qu'ils ont reçu et ravis d'avoir découvert leur ville jumelée.
Début juillet le club nautique de Pornic a reçu en retour six enfants baionais venus régater dans les ports de Pornic.
Ces mêmes dates, une délégation officielle de Baiona, le maire Jesus Almuinia et plusieurs adjoints dont Raul Costa, délégué aux jumelages, à séjourné à Pornic afin d assister au départ de la course Pornic Baiona Pornic, course très prisée et qui accueille chaque fois une trentaine de bateaux.
Un stand sur le village de la course leur était réservé afin qu'ils puissent présenter des spécialités de Galice comme les rosquillas et présenter une vidéo des fêtes de la Arribada, fête d'intérêt national qu'ils souhaitent élever au niveau de "Fête d'intérêt.international".


 Enfin pour le XXeme anniversaire de la St Gilles, fête du St Patron de Pornic, le Cercle  Culturel Celtique de

Pornic à invité le Ballet Folclórico Galego, dont Eduardo est le directeur. Outre le défilé et plusieurs prestations il a également dansé dans une  maison de retraite à Pornichet et dans un restaurant à Pornic. Comme en 2008, ils ont enchanté le public, très nombreux, par leurs danses, leurs costumes et leurs sourires.Des projets pour 2014 ?
Les invitations pour les cours de danse de janvier sont lancées. Le peu de réponses positives nous font nous poser des questions sur le maintien de cette activité.
Peut être certains d'entre vous seraient intéréssés: 28, 29,30 et 31 janvier: 41 euros (adhésion comprise). En parallèle, nous proposons à une école primaire cette initiation 2 heures dans la semaine avec spectacle devant les parents. Les 23 et 24 août le Ballet Folclórico Galego composé de 40 danseurs et musiciens participera pour  la seconde fois, au Pardon de la Baule en tant qu'invité d'honneur. On en reparlera!
Nous pensons cette année proposer une exposition de tableaux d'artistes pornicais à Baiona comme cela a été fait à Linz, notre ville jumelée allemande.
Enfin nous attendons avec impatience que deux personnes contactées et qui semblent intéressées organisent un voyage d'adultes Baionais désireux de connaître Pornic.
Nous avons un gros problème car nous n'avons pas d'homologue à Baiona, et beaucoup de choses se traitent avec les mairies. Pour ce qui nous concerne, à Pornic, nous travaillons conjointement avec la mairie.
En tant que représentante du groupe de danse, je cherche des villes ou villages souhaitant les inviter pour une prestation. Vous pouvez me contacter au 0685950913 oupar mail  
mgsavariau@hotmail.com
Hasta luego!
                                                                                                                 Marie Savariau
 
Alojan gratis en Foz a franceses que quieran comprar piso o hacer negocio
El edil Cancio promociona el municipio en el intercambio con Trégastel
Grupo de focenses que viajó estos días a la Bretaña francesa.
 
 
Jaime Cancio no es concejal del equipo de gobierno focense, pero lo fue. Estar en la oposición no le impide seguir ejerciendo como embajador del municipio allá por donde va. Hoy llega a Foz procedente de un viaje por tierras de la Bretaña francesa, en el que han participado 57 personas y que forma parte de las actividades que organiza a lo largo del año como presidente del comité del hermanamiento entre la localidad gala de Trégastel y la villa mariñana.
Aprovechó comidas, reuniones y la recepción por el décimo aniversario de la firma del hermanamiento oficial para animar a emprendedores franceses a fijar su segunda residencia en Foz. Considera que la variada oferta inmobiliaria es un atractivo para empresarios del sector. Pero no cree que sea el único reclamo. También sabe que Foz tiene mucho que ofrecer en el ámbito empresarial, tanto a emprendedores dispuestos a aprovechar las instalaciones que ya existen en el municipio como a quien opte por aventurarse en participar en proyectos «que están en marcha ou non rematados e que precisan financiamento». Para crear un clima de confianza y facilitar las posibles operaciones, Cancio garantiza alojamiento gratuito a los emprendedores franceses: «En menos de dúas horas viaxas de Foz a Gijón, e desde alí podes coller o barco. En dúas horas e media estás en Francia».
Y si este año fueron los focenses los que cogieron las maletas para visitar la Bretaña, en el 2014 les tocará el turno a los galos. Jaime Cancio aspira a que en ese viaje ya participen empresarios del país vecino. También aguarda que el equipo de gobierno le proponga al alcalde de Trégastel ser el pregonero de alguna de las fiestas locales.
                                            Según La Voz de Galicia (Maria Cuadrado) 10 de septiembre de 2013.
 
 
 
CHEZ NOS AMIS ….
 
VIVEIRO: UN CRUCERO EN LAS AGUAS DE A MARIÑA.
Mardi 22 Octobre: petit évènement dans A Mariña. Un bateau de croisière  l' "Europa" (200 m de long et 30 de  large) parti de Bordeaux avec 420 passagers et un équipage de 280 marins a fait escale au port de Celeiro ( Viveiro )Parti de Bordeaux il a fait une première escale à Bilbao , et après Viveiro partira  pour  Vigo, Lisboa, Màlaga et Barcelona . 
Les passagers ont visité en quatre groupes : la ville et le centre historique de Viveiro, San Roque, Monte Faro et San Andrès de Teixido.
Jusqu'à présent seuls Vigo et A Coruña recevaient ce type de navires.
 La mairie était en négociation depuis un bon moment pour recevoir ce genre de bateau de croisière qui déverse plusieurs centaines de touristes dans les villes concernées, synonyme de développement et de retombées économiques importantes.  
                                                                     Phillipe Le Goff.
 
 CATOIRA:Bárbaros y cristianos la lían de nuevo en el Ulla. Lo intentan todos los años, pero los nórdicos no pueden con las huestes que defienden As Torres.Escrito por:
Una vez más lo intentaron. Los vikingos hicieron lo imposible por conquistar las cristianas Torres do Oeste en Catoira, pero una vez más no pudieron con las huestes que las defendían. Y eso que los bárbaros llegaron bien pertrechados con cascos cornudos, espadas, mazos y unos rugidos que metían miedo. Pero tendrían que haber sabido que, como en la aldea gala de Astérix, en Catoira también hay poción mágica: los litros de vino tinto que desde la noche previa a la Romaría Vikinga reconfortan los cuerpos de los guerreros autóctonos. Y aunque los nórdicos tienen su diosa y su canto de guerra -«¡Úrsula, Úrsula!»- nada pueden hacer ante la embaucadora gaita gallega y la Rianxeira.
Así que el resultado estaba cantado, pero eso no era lo importante. La enjundia de la jornada está en la juerga que se traen unos y otros en una fiesta que sorprende a los turistas y que presume de ser de interés internacional. El secreto es que no hay romero que se acerque a Catoira que quede al margen del desembarco. Basta ponerse unos cuernos en la cabeza o hacer harapos con el abrigo de pieles de la abuela y uno se transforma en vikingo. Si lo sabrán los vecinos de Catoira, que son los protagonistas de la puesta en escena de las representaciones teatrales que todos los años acompañan a una romería que cumplió ayer 53 primeros domingos de agosto.
Por eso la espera del desembarco -los drakkar vikingos nunca llegan a la orilla del Ulla antes de la una de la tarde- resulta de lo más amena, con enormes zancudos que babean tintorro servido en cuernos y faquires que fuman antorchas. Todo muy Picapiedra. El resto del atrezo lo ponen los vecinos con sus representaciones teatrales, basadas casi siempre en aquellos acontecimientos históricos que colocaron a la pequeña Catoira en el mapa de los grandes acontecimientos turísticos del planeta: las fortalezas levantadas en la desembocadura del Ulla para repeler la llegada de bárbaros del norte ávidos de hacerse con los tesoros de la catedral de Santiago.
Y eso fue lo que un año más se rememoró ayer en Catoira. A la una de la tarde, dos drakkar y un galeón desembarcaron bajo un sol de justicia y los guerreros y guerreras vikingos la emprendieron a golpe de espada, mazo y hacha contra miles de cristianos en pantalón corto que los esperaban sin miedo. Al final, el vino tinto, las empanadas, el pan con pasas, el churrasco, el pulpo, las rosquillas y los más variados dulces los conquistaron. Pactado el armisticio, los guerreros reposaron a los pies de las centenarias torres. Como siempre, ganó Catoira.

                                                    Según  Susana Luaña, La Voz de Galicia. 05 de agosto de 2013


MONDOÑEDO:
Mil caballos recorren Mondoñedo en la fiesta más antigua de Galicia

La feria de ganado equino ha vuelto a ser la estampa de las fiestas más antiguas de Galicia, As San Lucas de Mondoñedo (Lugo), que han cumplido en esta edición 857 años, con más de mil caballos en el recinto ferial y un concurso que ha repartido 5.530 euros en premios, distribuidos en 29 categorías.
Como es costumbre, el 18 de octubre se celebra el día grande de las fiestas, con la tradicional feria, en la que el ganado equino acapara todo el protagonismo, porque "As San Lucas siguen manteniendo la esencia con la que nacieron", en el año 1156, cuando se le concedió a Mondoñedo el título de ciudad, ha explicado el presidente de la comisión organizadora Miguel Souto "la feria equina, que representa el nexo de unión de la fiesta actual con sus orígenes, ha sido "preciosa", con un millar de cabezas de ganado en los cercados habilitados por la organización y centenares de personas siguiendo la tradición de la compra y la venta de caballos" ha añadido.
Los caballos han entrado en la villa, la víspera de la feria y, en su periplo por las calles de la localidad, no se han producido incidentes, ha dicho Souto, quien ha comentado que "todo se hizo de forma muy ordenada".
A pesar de la vistosidad de esta cita, ha reconocido, en cualquier caso, que en la feria "hubo algún caballo menos que en la edición del pasado año", porque también en As San Lucas, al menos en este aspecto, se han dejado sentir los efectos de la crisis.
También se ha celebrado el día dedicado a Ferrol, un municipio con el Mondoñedo está hermanado, y hasta esta localidad lucense se ha desplazado el alcalde de la ciudad departamental, José Manuel Rey Varela, y una representación de la corporación municipal.
El teniente alcalde de la localidad, Xusto Fernández, se ha referido a la íntima relación que tiene la feria de As San Lucas con el "ganado equino" y ha destacado que, un año más, la fiesta más antigua de Galicia "cumplió con la tradición" en "todos los sentidos".
La feria de As San Lucas fue declarada de Interés Turístico Nacional en el año 1969.

                                               Según el Faro de Vigo, 18/10/2013.  Foto:
www.mondonedo.net n
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                                                       ET CHEZ NOUS :
 
LA MUSICA BRETONA MÁS FÁCIL POR INTERNET CON BREIZH-MUSIC:
Philippe Remaud (presidente del hermanamiento Mur de Bretagne – Sarria) es un músico. Con su grupo – Dianav - toca la cornamusa. Y como le gusta compartir la música bretona, con un amigo suyo Simon Marc, ha realizado una web para que todos puedan aprenderla. Es una web muy agradable que se llama Breizh-Music. Los dos compadres han reunido como profesores unos músicos muy conocidos como Philippe Janvier (bombarda), Gael Cadoret y Alain Pennec (accordeón), Gilbert Le Pennec ( guitarra), Christian Lemaitre (violin) y Clotilde Trouillaud (arpa).
Lo interesante es que con este tipo de curso, se pude aprender las 24 horas sin problema por todos los rincones del planeta (¡ ya hay uno en Nueva Caledonia !) cual que sea el nivel del estudiante: inicial, intermediario, avanzado. Y con la web se puede establecer una red de musicos que podrán tocar juntos a pesar de la distancia. La subscripcion puede ser de un mes, de un año. Actualmente la web es en francés pero piensan en traducirla en varios idiomas. ¿Quizás en gallego ?
Para saber más: www.breizh-music.com

Au cas où vous n'auriez pas tout compris, sachez que Philippe Remaud (président du jumelage Mûr de Bretagne-Sarria) a réalisé avec son ami Simon Marc et une excellente équipe de professeur un site internet qui vous permettra de vous initier à la musique bretonne ou en approfondir vos connaissances. Rendez-vous donc sur ce site très bien présenté et on ne peut plus agréable à utiliser.

AGALEGA: UN PETIT BOUT DE GALICE DANS L'OCEAN INDIEN ?
Notre ami Claude le Menn, président du Jumelage Lesneven-As Pontes est féru d'histoire. Il a découvert une "curiosité" qu'il a voulu immédiatement partager avec les lecteurs de notre bulletin.
 
Diego Garcia, Juan de Nova, Bassas da India, Zanzibar, Tromelin, Mahé, , Kerguelen… Qu’ils soient d’origine espagnole, portugaise, arabe ou bretonne, les noms des innombrables îles de l’océan indien font assurément rêver… Mais qui connaît ce petit archipel, composé de deux îlots reliés par un banc de sable, nommé… Agaléga ?
Dépendant de la République de Maurice, Agaléga se situe néanmoins à plus de mille kilomètres au nord de l’île mère, quelque part entre Madagascar et les Seychelles. Mais d’où ce minuscule archipel de 26 km2 et d’environ 300 habitants tire-il son nom ? Serait-ce une contraction de “A Galega”, autrement dit “La Galicienne” ?
Première hypothèse, ce nom aurait été attribué par le navigateur portugais Pedro de Mascarenhas qui, en 1513, découvrit aussi l’île Maurice et l’île de la Réunion (archipel des Mascareignes) et dont l’un des navires s’appelait justement La Galega.
Seconde hypothèse, ces îlots auraient été découverts dès 1501 par l’explorateur galicien João da Nova, dit Juan Gallego, qui naviguait pour le compte du Portugal. Il aurait baptisé l’endroit A Galega, en souvenir de son pays natal.
Rien pourtant, sur place, ne rappelle la Galice. Les deux îlots, d’origine corallienne, favorisent davantage la croissance de la mangrove et des cocotiers que celle de l’ajonc ou de la bruyère façon galicienne ! De même, il faudrait beaucoup d’imagination pour trouver une ressemblance entre les interminables plages de sable blanc d’Agaléga et les côtes tourmentées de Galice. La température moyenne annuelle de 26° rappelle également assez peu le climat galicien…
 
PROCHAIN BULLETIN: 1er Janvier 2014.  BONNES FÊTES A TOUTES ET A TOUS !
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Original :

LA VIE DES JUMELAGES:


LESNEVEN – AS PONTES: DISCULPAS – EXCUSES.


Nous avons publié dans notre bulletin de septembre un article sur la visite d'un groupe de Lesneven à As Pontes. Par suite d'une regrettable erreur nous l'avons extraite d'un article publié dans la presse galicienne lors de la précédente visite il y a deux ans. Nous présentons toutes nos excuses aux élus et animateurs des jumelages des deux communes.


En el boletin de septiembre publicamos un artículo sobre la visita de un grupo de Lesneven a As Pontes. Por error, este fue sacado de artículos de la prensa publicados dos años antes. Presentamos a los ediles y amigos de los hermanamientos nuestras disculpas.


 


LESNEVEN – AS PONTES : NOUVEAUX ÉCHANGES…


 


Comme tous les deux ans, un groupe de Lesneviens conduit par Claude Le Menn s’est rendu à As Pontes l’été dernier. Ils étaient une trentaine, de tous âges, à prendre le départ, en car, le 22 juillet à l’aube. Après une nuit dans un hôtel du Pays Basque espagnol, à Oiartzun, les Bretons ont repris la route en direction de Burgos, Astorga, León, Lugo… pour arriver à As Pontes en fin d’après-midi.


Accueillis par Antón Ferreiro et son équipe, les Lesneviens ont été dirigés vers leurs familles d’accueil. Le lendemain avait lieu la réception officielle à la mairie, en présence du maire Valentín González Formoso. Les deux jours suivants devaient être consacrés à la fête de la Fraga – qui rassemble des dizaines de milliers de personnes à As Pontes – mais les réjouissances ont rapidement été ternies par le tragique accident ferroviaire de Santiago. Le vendredi matin, les Lesneviens ont d’ailleurs participé, en compagnie de la population d’As Pontes, à une émouvante minute de silence, à la mémoire des disparus, sur le parvis de la mairie, tandis que les drapeaux, y compris le gwenn-ha-du, étaient mis en berne. L’après-midi, Bretons et Galiciens se sont retrouvés pour des jeux populaires sur la plage artificielle du lac qui a remplacé l’ancienne mine de lignite. La journée s’est terminée par un pique-nique.

Le samedi 27, tous ont pris part à une excursion au cours de laquelle ils ont visité les impressionnantes carrières d’ardoises de Valdeorras près d'Ourense (photo), une bodega, et les surprenantes mines d’or romaines de Las Médulas (province de León). Après une journée de dimanche en famille, le groupe a participé à une seconde excursion, sur la côte du golfe Ártabro cette fois. Au programme : visite de Sada, Lorbé, Seixo Branco, le château de Santa Cruz, le palais de Mariñan, Betanzos…

Le lendemain, les Lesneviens ont découvert, au collège Santa María d’As Pontes, une exposition très intéressante sur les écoles fondées, en Galice, par des émigrés qui avaient fait fortune en Amérique du Sud et plus spécialement à Cuba. Le mardi, veille du départ, a eu lieu la traditionnelle fête de clôture du séjour en présence du maire d’As Pontes.

Au retour comme à l’aller, le groupe a fait étape dans un hôtel d’Oiartzun, au Pays Basque. Les personnes qui participaient pour la première fois au séjour à As Pontes ont été enchantées de l’accueil reçu à As Pontes et de cette semaine de découverte de la Galice. Plusieurs se sont d’ailleurs promis de suivre, désormais, les cours du soir d’espagnol que le comité de jumelage organise, tous les ans à Lesneven, de juin à septembre. En août 2014, ce sera au tour des Galiciens de se rendre, en Bretagne, dans leur ville jumelle.

Pour l’anecdote, un nouveau lien s’est tissé entre Lesneven et la Galice : María Isabel, l’épouse d’un policier municipal affecté à Lesneven en septembre dernier, est galicienne ! Elle n’a pas été mécontente d’apprendre que sa nouvelle commune de résidence est jumelée avec une ville de son pays natal !

 

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LA VIE DES JUMELAGES:

LESNEVEN – AS PONTES: DISCULPAS – EXCUSES.

Nous avons publié dans notre bulletin de septembre un article sur la visite d'un groupe de Lesneven à As Pontes. Par suite d'une regrettable erreur nous l'avons extraite d'un article publié dans la presse galicienne lors de la précédente visite il y a deux ans. Nous présentons toutes nos excuses aux élus et animateurs des jumelages des deux communes.

En el boletin de septiembre publicamos un artículo sobre la visita de un grupo de Lesneven a As Pontes. Por error, este fue sacado de artículos de la prensa publicados dos años antes. Presentamos a los ediles y amigos de los hermanamientos nuestras disculpas.

 

LESNEVEN – AS PONTES : NOUVEAUX ÉCHANGES…

 

Comme tous les deux ans, un groupe de Lesneviens conduit par Claude Le Menn s’est rendu à As Pontes l’été dernier. Ils étaient une trentaine, de tous âges, à prendre le départ, en car, le 22 juillet à l’aube. Après une nuit dans un hôtel du Pays Basque espagnol, à Oiartzun, les Bretons ont repris la route en direction de Burgos, Astorga, León, Lugo… pour arriver à As Pontes en fin d’après-midi.

Accueillis par Antón Ferreiro et son équipe, les Lesneviens ont été dirigés vers leurs familles d’accueil. Le lendemain avait lieu la réception officielle à la mairie, en présence du maire Valentín González Formoso. Les deux jours suivants devaient être consacrés à la fête de la Fraga – qui rassemble des dizaines de milliers de personnes à As Pontes – mais les réjouissances ont rapidement été ternies par le tragique accident ferroviaire de Santiago. Le vendredi matin, les Lesneviens ont d’ailleurs participé, en compagnie de la population d’As Pontes, à une émouvante minute de silence, à la mémoire des disparus, sur le parvis de la mairie, tandis que les drapeaux, y compris le gwenn-ha-du, étaient mis en berne. L’après-midi, Bretons et Galiciens se sont retrouvés pour des jeux populaires sur la plage artificielle du lac qui a remplacé l’ancienne mine de lignite. La journée s’est terminée par un pique-nique.

Le samedi 27, tous ont pris part à une excursion au cours de laquelle ils ont visité les impressionnantes carrières d’ardoises de Valdeorras près d'Ourense (photo), une bodega, et les surprenantes mines d’or romaines de Las Médulas (province de León). Après une journée de dimanche en famille, le groupe a participé à une seconde excursion, sur la côte du golfe Ártabro cette fois. Au programme : visite de Sada, Lorbé, Seixo Branco, le château de Santa Cruz, le palais de Mariñan, Betanzos…

Le lendemain, les Lesneviens ont découvert, au collège Santa María d’As Pontes, une exposition très intéressante sur les écoles fondées, en Galice, par des émigrés qui avaient fait fortune en Amérique du Sud et plus spécialement à Cuba. Le mardi, veille du départ, a eu lieu la traditionnelle fête de clôture du séjour en présence du maire d’As Pontes.

Au retour comme à l’aller, le groupe a fait étape dans un hôtel d’Oiartzun, au Pays Basque. Les personnes qui participaient pour la première fois au séjour à As Pontes ont été enchantées de l’accueil reçu à As Pontes et de cette semaine de découverte de la Galice. Plusieurs se sont d’ailleurs promis de suivre, désormais, les cours du soir d’espagnol que le comité de jumelage organise, tous les ans à Lesneven, de juin à septembre. En août 2014, ce sera au tour des Galiciens de se rendre, en Bretagne, dans leur ville jumelle.

Pour l’anecdote, un nouveau lien s’est tissé entre Lesneven et la Galice : María Isabel, l’épouse d’un policier municipal affecté à Lesneven en septembre dernier, est galicienne ! Elle n’a pas été mécontente d’apprendre que sa nouvelle commune de résidence est jumelée avec une ville de son pays natal !

 


 




































































































 

 

 


 

 


PORTRAIT/RETRATO:  SANTY GUTIERREZ.Ramón Villares reivindica una cultura más basada “en el hacer que en el ser” en el 30º aniversario del CCG.


El presidente de la Xunta, Alberto Núñez Feijóo, afirmó el 27 de septiembre que gracias a su cultura Galicia “es libre y está viva” y mostró su convencimiento de que con su apoyo saldrá también de la crisis. “Galicia está viva y, en ningún caso, menos que en sus mejores tiempos. Galicia hoy es dueña de sí; tiene blindado su autogobierno; y Galicia saldrá [de la crisis] y para salir necesita la cultura”, aseveró, durante el acto conmemorativo del 30º aniversario de la creación del Consello da Cultura Galega, en el que también estuvieron presentes la presidenta del Parlamento de Galicia, Pilar Rojo; el conselleiro de Educación y Cultura, Jesús Vázquez; el delegado del Gobierno en la comunidad, Samuel Juárez; el presidente del Consello da Cultura Galega (*), Ramón Villares, así como figuras destacadas del ámbito de la cultura y de la sociedad de Galicia, entre los que estaba el arzobispo de Santiago, Julián Barrio.



Después de destacar que “la cultura nos hace inmortales y nos hace también libres. La cultura es libertad y la libertad resulta incompleta sin cultura”, Feijóo dijo que la cultura en la Comunidad gallega es sinónimo del Consello.


La cultura nos ayudó a resistir en los momentos en que esa libertad agonizaba. Fue la cultura esa antorcha encendida que nos permitió soñar con nuevos horizontes, el salvavidas que impidió que la esperanza muriese”, añadió.


Para Villares, el Consello da Cultura Galega debe ser una institución más basada “en el hacer que en el ser”, y por lo tanto, con gran capacidad de iniciativa y de servir de vínculos entre la sociedad y sus instituciones. Villares destacó también la gran capilaridad cultural de la cultura gallega pero señaló que “precisa una presencia institucional”.


El presidente del CCG destacó que el “nacimiento del CCG mana de las mismas fuentes en las que nace el río de la autonomía”, pero adaptándose a los tiempos. “La idea de preservar los valores culturales del pueblo gallego fue desarrollada”, señaló Villares, quien destacó la proximidad al sector de la cultura como uno de los retos: “El sector demanda más confianza en el porvenir”, destacó.


 (*) El Consello da Cultura Galega fue creado conforme al artículo 32 del Estatuto de Autonomía de Galicia. El Parlamento de Galicia aprobó la Lei do Consello el 8 de julio de 1983. Desde entonces y hasta el presidente actual, Ramón Villares, el CCG tuvo cuatro presidentes, figuras imprescindibles de la cultura gallega en la historia del siglo XX: Ramón Piñeiro, Xosé Filgueira Valverde, Carlos Casares y Alfonso Zulueta de Haz.


30 Septiembre 2013.


 

Santy Gutierrez est bien connu des lecteurs de la presse galicienne. Chaque jour, il illustre l'actualité et aborde les sujets les plus graves avec beaucoup d'humour. Il se présente ainsi sur son site:


 


"En septiembre de 1993, hace ya la friolera de 20 años, publiqué mi primer dibujo remunerado en el periódico “El Correo Gallego”. Y desde entonces no he parado. Acabo de cumplir 20 años como profesional y en este tiempo he tenido clientes que se han convertido en amigos, he conocido a colegas que ya son casi familia y a mucha gente magnifica que me ha acompañado en algún momento por este camino sembrado de dibujos. Y sobre estos cimientos hechos de papel y tinta he construido una hermosa familia a la que adoro. Veinte años dan para mucho. A todos, GRACIAS".


Santy Gutierrez se dedica profesionalmente al dibujo desde 1993, realizando diariamente desde entonces miles de viñetas de humor gráfico y caricaturas de prensa para multiples cabeceras de ámbito autonómico y nacional, e ilustrando artículos, reportajes, libros y cómics para revistas y editoriales, y realizando dibujos de campañas gráficas y animación para empresas de publicidad y productoras de audiovisual. Es miembro fundador del estudio Baobab y presidente de la AGPI desde enero de 2008.       www.santygutierrez.com
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