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Notre assemblée générale s'est tenue à Dinan samedi 26 février. Deux raisons à ce choix explique Pierre Joubin, président du Comité. « D'une part Dinan entend relancer son jumelage avec Lugo. Et ce 26 février est le 81e anniversaire de la naissance de notre ami Robert Omnès né précisément à Dinan. Robert nous a quitté le 22 juin dernier. Très jeune, il s'est intéressé à l'histoire et à la langue bretonnes. Passionné par les langues, il mène des études d'espagnol, de linguistique et de civilisation celtique à l'Université de Rennes. Parallèlement il s'investit dans différentes actions en faveur de la culture bretonne, participe à la fondation de la Jeunesse Etudiante Bretonne (1952), du cercle celtique de Dinan la même année et de celui de Dinard en 1954. Il est aussi secrétaire puis président de la Confédération Kendalc'h (1961-1964). Titulaire du CAPES, il enseigne l'espagnol à Quimper de 1956 à 1969. Agrégé en 1969, il enseigne alors à l' Université de Bretagne occidentale de 1969 à 1988. Docteur en linguistique en 1991, il poursuit ses recherches sur la phonétique et la phonologie espagnoles.Il publie aussi plusieurs ouvrages et articles sur les relations historiques entre la Bretagne et la péninsule ibérique anime des colloques dont celui tenu en 1999 à Brest sous l'égide du CRBC : "les celtes et la péninsule ibérique" avec Yvon Cousquer (qui a traduit l'ouvrage de Castelao "Cruces de piedra na Bretaña") et Helios Jaime. De 1982 à 2000, il fonde et préside notre Comité Bretagne-Galice. Son action en faveur de la culture bretonne ne faiblit pas non plus : maire de Plomelin de 1965 à 1995, il y accueille la première école Diwan de Cornouaille, permet la mise en place d'une signalétique bretonne dans sa commune dès 1968, participe à la création de la chorale Kanerien Sant Meryn (1983) et de la troupe de théâtre Strollad Yann an Aod en 1999. Il a été décoré de l'Ordre de l'Hermine par l'Institut Culturel de Bretagne. Afin de lui rendre hommage, souligner son apport à notre culture, nous proposons que la ville de Dinan donne à un équipement culturel, une rue ou une place, le nom de l'un de ses illustres fils ». L'assemblée a été accueillie par Monsieur Sébastien Monnier, maire-adjoint et Jean-Pierre Del Moral, par ailleurs animateur de la chorale « Les Messagers du Pays de Dinan », chargé de la constitution d'un Comité dans les semaines à venir. Comme de coutume, l'assemblée a procédé à un échange d'expériences sur les relations entre villes jumelées et s'il est vrai que certains jumelages connaissent des difficultés de fonctionnement, de nombreux autres ont une activité très importante et régulière comme Lesneven/As Pontes, Tréguier/Mondoñedo, Pornic/Baiona .... D'autres jumelages sont en cours de création et des contacts établis. Suite au voyage effectué en mai dernier par une délégation du Comité et de l'ICB, de nombreux projets sont en cours de réalisation. Ainsi, le Comité s'inscrira pleinement dans les manifestations du centième anniversaire de la naissance d'Alvaro Cunqueiro. Deux conférences seront données à Pontivy et Dinan lors de la Fête de la Bretagne pour parcourir "la route du sous-chantre". Une autre est envisagée à Lorient lors de l'Interceltique pour évoquer l'action de l'écrivain galicien et de Polig Monjarret en faveur du renouveau de la musique populaire. Une soirée sera également organisée fin novembre à Tréguier. Toujours dans le cadre de la Fête de la Bretagne, une conférence sera donnée le 26 mai à Lesneven pour retracer le travail d'Alfonso Castelao sur le patrimoine religieux breton, notamment léonard. Parallèlement, le Comité apportera son soutien a toute initiative visant à promouvoir les échanges, culturels, scolaires, sportifs, économiques … entre les deux régions. Après avoir approuvé le rapport financier, l'assemblée a reconduit son bureau. Président : Pierre Joubin (Vannes), vice-présidents : Alain Le Roux (Tréguier) Agnès Bonnet (Lannion) et Claude LeMenn (Lesneven), secrétaire : Agnès Le Lay (Lannion), trésorière : Anne Levesque (Tréguier). Photo : Ouest-France. Un compte-rendu plus exhaustif rédigé par notre secrétaire est disponible sur simple demande.
CONGRES INTERCELTIQUE A NARON : Le IIIe Congrès sur la culture celtique organisé par l'IGEC (Instituto Galego de Estudos Celtas) se tiendra à Naron près de Ferrol du 15 au 17 avril 2011. L' IGEC est une organisation à but non lucratif dont les objectifs principaux sont la promotion et la diffusion de la recherche interdisciplinaire sur la culture et la Civilisation Celtique avec une attention particulière en Galice, au nord du Portugal et en Europe Atlantique. L'IGEC favorise également la connaissance de l'histoire et la culture de la Galice et l'échange académique et scientifique. De très nombreux scientifiques de plusieurs pays vont y présenter l'état actuel des sciences concernant la culture et de la civilisation celtiques dans toutes les disciplines. Parmi les membres du Comité scientifique de l'IGEC figurent le professeur Venceslas Kruta et M. Fabien Régnier (directeur de KELTIA Magazine) et entre autres intervenants l'archéologue Yves Le Béchennec, également collaborateur de KELTIA et le mythologue Philippe Jouët. Un hommage sera rendu à Robert Omnès, notre président-fondateur décédé en juin dernier. Robert avait joué un rôle important lors du précédent Congrès qui s'était déroulé au Ferrol en novembre 1998. Les travaux seront en traduction simultanée. Le montant de la participation est de 60 € (20 € pour les étudiants). Pour tous renseignements complémentaires, dossier d'inscription, contacter http://www.estudosceltas.org/ info@estudosceltas.org ou a.pena@naron.es Pour les hébergements, site de la Commune : http://www.concellodenaron.com/ ou celui de l'office du tourisme : http://www.turnaron.es/
…. ET CASTELAO : Daniel Alfonso Castelao est né lui il y a 125 ans à Rianxo. Lui aussi s'est beaucoup intéressé à la Bretagne et y a effectué un séjour en 1929 pour étudier notre patrimoine religieux et le comparer à celui de la Galice. Nous lui rendrons hommage, toujours dans le cadre de la Fête de la Bretagne lors d'une conférence organisée à Lesneven par le Comité de Jumelage Lesneven-As Pontes et l'UTL du Léon jeudi 26 mai. Toutes précisions sur ces conférences assurées par Pierre Joubin, président du Comité Bretagne-Galice, dans notre bulletin de mai. En Galice, les commémorations ont commencé par une conférence de notre ami Carlos Valle Perez, directeur du Musée de Pontevedra sous l'égide de l'USC. Les orateurs ont souligné l'apport d'Alfonso Castelao en temps qu'artiste, écrivain, penseur et homme politique qui aura laissé une empreinte profonde dans la société galicienne.
UNE EXPO SUR LA DIASPORA BRETONNE: Le musée de Bretagne prépare actuellement une exposition « Migrations bretonnes, migrations en Bretagne », et souhaite mettre à contribution les Bretons ayant quitté la Bretagne, ou dont la famille a quitté la Bretagne à des périodes plus anciennes, et ce quel que soit le lieu de résidence (lointain ou moins lointain). Anne Diaz en charge de ce projet nous propose de contribuer à la réalisation de l'exposition.« Le but est de mieux cerner la façon dont est vécue la migration, l'attachement des Bretons à leur territoire et à leur culture, ce qu'ils voudraient en transmettre, et d'identifier quels objets ou documents symbolisent la Bretagne et la migration à leurs yeux » nous a-t-elle confié. Nous répondons favorablement à son appel et incitons tous nos amis, et surtout ceux qui vivent en Galice, à s'y associer. Nous pourrons faire parvenir les questionnaires qui seront à retourner avant le 1er avril 2011. Il est également possible de contacter directement Anne Diaz à son adresse : a.diaz@leschampslibres.fr
LA CITE DE LA CULTURE INAUGUREE: Depuis onze ans, l'attention des voyageurs et pélerins arrivés à Saint Jacques était attirée par un énorme chantier sur les hauteurs du Mont Gaias.Il s'agissait de celui de la Cité de la Culture, un complexe en forme de conque de 148.000 mètres carrés qui aura couté 400 millions d'euros soit quatre fois plus que l'estimation initiale ce qui a suscité de nombreuses polémiques. Le projet, œuvre de l'architecte nord-américain Peter Eisenman comprend, un ensemble de six batiment reliés par des voies piétonnes. L'on y trouve une bibliothèque, des archives,un musée, un théatre, un centre dédié aux nouvelles technologies et un complexe de jardins, l'Arboretum, conçu à des fins éducatives et récréatives. Le projet, l'un des plus ambitieux menés à bien en Espagne a été commencé en 2001 et quelques batiments demeurent à réaliser mais l'ensemble devrait être achevé fin 2012.
FELIZ CUMPLE XOSE MANUEL ! Animation ce samedi 9 février à Cambre : le patriarche des Seivane, Xosé Manuel, fêtait ses 90 ans ! Xosé Manuel Seivane est né dans le village de Pastoriza (Lugo). Il a construit sa première gaita en 1939 accomplissant ainsi son rêve d'enfance: se fabriquer lui-même son propre instrument.Il se marie et s'établit à Ribeira de Piquín. Dans un premier temps, il fournit uniquement les gaiteiros de son entourage mais, très vite, il étend davantage son champ d'action jusqu'à dépasser les limites de l'Etat. L'Obradoiro est ainsi devenu un lieu de rendez-vous incontournable pour les gaiteiros et les amateurs de musique populaire. Ses fils, Álvaro et Xosé Manuel suivent ses pas depuis leur plus tendre enfance. A ses côtés, ils vont apprendre les petits secrets quotidiens du métier, ceux qui surgissent du contact journalier avec le bois, l'aptitude à se souvenir d'un son écouté. En 1972, Álvaro déménage à Barcelone pour suivre des études et finit par créer là-bas un autre Obradoiro semblable à celui de son père. En 1986, il décide de retourner en Galice afin d'y continuer son travail. En 1994, toute l'expérience acquise par chacun d'entre eux est réunie, c'est la fondation de l'actuel Obradoiro de Gaitas Seivane à Cambre (A Coruña). Aujourd'hui, Xosé Manuel a l'habitude de se rendre à l'Obradoiro, où il reçoit la visite de ses vieux amis. Et il s'étonne lorsque les nouvelles générations de gaiteiros lui consacrent, souvent, leurs répertoires … Hommage mérité à un grand Monsieur : merci Xosé Manuel pour tout ce que vous avez fait. http://www.seivane.es/
Tan Miss España como galleguista; Emilia Docet, 'sex symbol' de la República, mitineó junto a Castelao o Risco. Emilia Docet nace en Vigo en 1913, cuando al marketing se le llamaba propaganda y el concepto de ciberpolítica no existía ni soñado. En el año 1933 fue elegida Miss España y, casi sin darle tiempo a desprenderse de la banda, se convirtió en la imagen del recién constituido Partido Galeguista (PG). Un famoso vende, y el PG contaba con la miss para empujar su mensaje político exactamente igual que lo hacía La Peninsular -empresa tudense de la que era imagen- para vender sus galletas Pitusín. Díaz Pardo cree que el vínculo con el PG era a través de la esposa de Núñez Búa "La verdad es que su aparición en aquel momento político alcanzó una importante repercusión. Todos estábamos un poco sorprendidos de que una mujer que había ganado un certamen de esas características hubiese tenido aquella actividad tan marcadamente galleguista", comenta el cooperativista histórico Avelino Pousa Antelo. "Además, el PG estaba conformándose y no cabe duda de que la imagen de una mujer que tenía tanta presencia en los medios era una buena propaganda". Docet, por aquella época, era una celebridad que apostaba por dos maneras de respirar un tanto dispares y, en principio, sociopolíticamente contradictorias: tan Miss España como galleguista. Es cierto que el partido de Castelao, Risco o Bóveda aprovechó el tirón mediático de la modelo, pero también lo es que la viguesa no se habría involucrado con esa contundencia si su ideología no fuese afín al ideario del PG. "Desde mi punto de vista creo que su implicación política tenía raíces en la relación familiar que mantenía con la esposa de Núñez Búa", apunta el intelectual galleguista Isaac Díaz Pardo. "La compañera de Xosé Núñez Búa, maestro exiliado en Argentina y uno de los fundadores del PG, era pariente de la modelo. Recuerdo hablar con ella, Olivia Valladares Docet, sobre Emilia en Buenos Aires". Su vinculación con el partido fue realmente importante. Emilia Docet llegó a participar en el famoso Mitin das Arengas de 1934, en la Praza da Quintana, junto a Castelao, Bóveda, Otero Pedrayo, Paz Andrade y Suárez Picallo, y se convirtió en la primera mujer que lo hacía. Según las crónicas de la prensa del momento, pronunció uno de los discursos más bellos y sólidos. Además, destacó también por su implicación social: se presentó ante el ministro de Agricultura republicano para pedirle que levantara el embargo a los 7.000 campesinos avalistas del préstamo estatal -concedido años antes por el dictador Primo de Rivera- para construir el matadero rural de O Porriño. Era un mujer que luchó por reivindicarse, sobre todo en una época en la que los hombres copaban las cimas de todos los estamentos sociales. El investigador Xosé Ramón Paz Antón, estudioso del contexto histórico en el que Docet empezó a ser conocida, cree que la viguesa "fue una representante de las nuevas mujeres que surgieron en los años veinte: otras ropas, cosmopolitismo, deportes, conducir coches...". Paz Antón recuerda haber leído en prensa un episodio protagonizado por la modelo que refleja el carácter que la definía: eran las fiestas de San Telmo en Tui y la invitaron a participar en una demostración de natación en el río (era una fantástica nadadora en el estilo crawl). Se montó cierto revuelo por el hecho de que aquella señorita se hubiese presentado allí en bañador. Ante esta situación, Emilia dio media vuelta y se negó a hacer la demostración. "Era guapa, muy guapa", recuerda Pousa Antelo. "En cierta ocasión tuve la oportunidad de hablar con un hijo de Docet. Recuerdo que le dije que su madre era una diva. No le pareció nada bien... Yo en absoluto lo había dicho en sentido peyorativo, al contrario", acaba el viejo galleguista. Una de las escasas imágenes que circulan relacionadas con la viguesa y su implicación política es la que inmortaliza un homenaje que le organizaron los galleguistas de Ourense. En aquel banquete -celebrado el 16 de junio de 1933 en el Hotel Miño- Emilia Docet posa delante de una bandera gallega arropada por Otero Pedrayo, Vicente Risco y Álvaro Cunqueiro, entre otros. Acababa de convertirse en un símbolo centralizador de una España casposa, machista, y ella, posiblemente, lo celebró charlando en los cafés sobre algo parecido a un Estatuto de Autonomía. (Article de Diego Giraldez envoyé par Philippe Le Goff, 9 janvier 2011).
Luar na Lubre, la fuerza del destino. El año 1991 estaba consumiendo sus últimos alientos cuando la fuerza del destino hizo que compartiera con Luar na Lubre una noche mágica de noviembre, y no precisamente bajo el resplandor de la luna en un bosque sagrado, sino con el viento soliviantadoy una pertinaz lluvia enmarcando la visión de las encrespadas olas de la ensenada de Riazor. Un encuentro que marcó el comienzo de la escalada de este grupo hacia la cima del éxito donde hoy se asientan gracias a una trayectoria encomiable que afrontaron, con puntuales cambios en su formación, y una ideología musical que ha logrado crear un sonido personal reconocible en las amplias estepas del folk internacional donde su arte es apreciado. El destino quiso que me llegara el encargo de organizar una jam session privada con un grupo de folk para que Mike Oldfield escuchara la percusión gallega, por la que estaba muy interesado ante la grabación de Tubular Bells II. Pasaría unos días en Galicia junto a Rosa, su novia de entonces, de Cambre. Para cumplir el sorprendente encargo, inicio el contacto con tres grupos de folk, que, por diferentes motivos, no están disponibles para la fecha señalada. A punto de tirar la toalla, la fuerza del destino juega sus cartas y me dirige hacia un grupo de A Coruña, formado en 1986, al rebufo de la segunda oleada de la música celta. Su nombre, Luar na Lubre, que por entonces tenía dos discos grabados O son do ar (1988) y Beira atlántica (1990). Contacto con ellos que, incrédulos, aceptan, presentándose el 14 de noviembre en el Playa Club, a las 9 de la noche, con los pertrechos dispuestos para deleitar a Oldfield quien, junto a Rosa y el productor Tom Newman, llegó tras pasar una jornada disfrutando de la panorámica del Monte Pindo, el Olimpo celta. Las presentaciones de rigor dieron paso a la reunión musical y el destino, tenaz, vuelve a llamar a la puerta. Cuando Mike escuchaba interesado la música de Luar na Lubre, Rosa le comenta que era el mismo grupo que habían oído en una cassette que ella le había regalado en Londres. El interés de Oldfield se acrecienta y pide permiso para subir al escenario y tocar el pandero como un componente más del grupo. La jam termina y con consentimiento de Olfield empieza la after jam, con picoteo y cervezas, hasta que la madrugada naciente se echó encima. Cuando la repercusión de aquella cordial jam sessión parecía quedar en agua de borrajas, en 1996, el músico británico incluye una adaptación del tema O son doar en su álbum Voyager. Un hecho que puso a Luar na Lubre en los escalones del éxito con un reconocimiento internacional determinante para su propuesta artística que aumentó cuando Oldfield los incluyó como invitados en su gira Then & Now por varias ciudades españolas. Desde entonces, hacia arriba, escalando peldaños, disco a disco, concierto a concierto, como embajadores de la música folk gallega en todo el mundo, por donde viajan con sus ancestros musicales a cuestas, y una sencillez natural -esa que invoca al instinto, intuición y al discernimiento para crear con esencia y sentimientos de empatía- forjada en el trabajo colectivo y en el trato humano, que se exterioriza musicalmente en una obra con calidad, seducción, talento, intensidad emocional y solidez instrumental. Y todo porque la fuerza del destino así lo quiso. (Nonito Pereira – El País – 20/02/2011).
LUZ REGRESA: El esperado regreso de Luz Casal: la cantante gallega aprovechó el Día Mundial contra el Cáncer para ofrecer en Madrid el tercer concierto de una gira que ha retomado llena de energía. Autor:
Madrid fue testigo del regreso a los escenarios de una de las voces más importantes de la música española, Luz Casal, quien aprovechó el Día Mundial contra el Cáncer para ofrecer en la capital de España el tercer concierto de una gira que ha retomado llena de energía. «Tengo la certeza de que hay mucha gente entre el público que forma parte de un grupo al que pertenezco desde hace cuatro años», afirmó la cantante gallega, quien se presentó a las diez de la noche vestida de negro y con la satisfacción de haber logrado «un sueño» al llenar el pabellón Madrid Arena, con capacidad para diez mil personas. La primera parte de la actuación de Luz Casal estuvo marcada por «La Pasión», el álbum de boleros que publicó la artista el año pasado, justo cuando dejaba los escenarios para recuperarse y buscar en otras músicas, paisajes y canciones, según explicó ella misma. Así llegó el momento más emotivo de la noche, cuando Luz Casal se arrancó con el bolero «Piensa en mí», una canción que pasará a la historia de la música y el cine tras haberse convertido en un clásico gracias a la banda sonora de «Tacones lejanos». Luz Casal completó con «Gracias a la vida» su homenaje a las mujeres «luchadoras y valientes. «Gracias por el apoyo, el cariño, la comprensión y todas las cosas que me habéis dado durante tantos años», agradeció al auditorio la artista. Luz Casal se despidió del público madrileño con «Te dejé marchar» y el deseo de que todo vuelve a ser como siempre; en busca de una normalidad que para la cantante significa seguir siendo un referente en lo musical y en lo humano.
ARZON ETUDIE ROSALIA : L'association « Arzon langues occidentales » basée à Arzon propose de nombreuses activités dont des cours d'italien, d'anglais et d'espagnol lesquels sont assurés par Pierre Joubin. Deux niveaux : l'un débutant, l'autre plus « avancé aborde les grands auteurs d'Espagne et d'Amérique hispanique. Au programme cette année, Juan Ramon Jimenez, Manuel Rivas et, à l'occasion du 171e anniversaire de sa naissance le 24 février 1837, Rosalia de Castro, étudiée à partir d'une biographie écrite par Helena Villar Janeiro et admirablement illustrée par Anxeles Ferrer. Au travers des poèmes de Rosalia marqués par la la solitude existentielle la plus intime (la saudade), mais aussi les peines et les joies de la collectivité galicienne à travers ses fêtes et ses misères, ses amours et les injustices qu'elle a subies, les grands thèmes de la nature, du renouveau culturel et l'autonomiste (Rexurdimento) ont été largement étudiés. Fundación Rosalia de Castro :http://www.rosaliadecastro.org/
VERS UN RAPPROCHEMENT AURAY- PONTEVEDRA ? Une réunion sera organisée vendredi 18 mars à 18 heures salle Louis Massé, rue du Penher à Auray afin de lancer les bases d'une association d'amitié pouvant préfigurer un jumelage entre les deux villes.
El "Paseo dos Peixes" está ya listo en Bouzas: La prolongación del paseo marítimo de Bouzas está ya lista para su uso por los ciudadanos. La Autoridad Portuaria inaugurará el tramo de más de un kilómetro la próxima semana, una vez que concluyeron ya los trabajos de colocación de las cuatro esculturas que representan especies marinas de la ría que faltaban hasta completar las diez que el Puerto le encargó al escultor José Molares. La nueva senda, que arrancará junto al pequeño faro donde hasta ahora concluía el paseo peatonal de Bouzas será bautizada como "Paseo dos peixes", en honor a la decena de esculturas allí ubicadas.
Las esculturas, que están sobre una base de piedra, se encuentran jalonadas por pequeños árboles a lo largo del nuevo paseo. Cada una de ellas representa a una especie que vive en la ría viguesa y tiene, al lado, una plaza en la que se ofrece al paseante una somera información sobre el ejemplar del que se trata. Las especies representadas son congrio, escarapote, lubina, centolla, pulpo, mejillón, faneca, sardina, sargo y percebe. Esta ha sido la última en instalarse y se encuentra al final de la curva que hace el paseo para enfilar la cara norte de la ría.
El diseño definitivo del paseo es similar al que había con anterioridad desde la playa de la villa boucense hasta el faro. Consta de una senda peatonal con pavimento que semeja a la piedra y con dos carriles para bicicletas.
Con la apertura del nuevo tramo, el paseo de Bouzas se convertirá en el segundo en longitud del litoral vigués, solo por detrás del de la playa de Samil. El "Paseo dos peixes" tendrá en torno a dos kilómetros de longitud.
Démocratie directe : le nouveau site du parlement galicien permet aux citoyens de contacter leurs 75 députés par téléphone ou courrier électronique. Un plus grand nombre d'informations sur le fonctionnement de l'assemblée est à la disposition du public sur le site: http://www.parlamentodegalicia.es/
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