mardi 4 janvier 2011

Bulletin N 8 – Janvier 2011



COMITE BRETAGNE-GALICE

Kevredigezh Breizh-Galiza

Asociación Bretaña - Galicia

Bulletin N° 8 – Janvier 2011.

Siège : mairie de Mur de Bretagne – 22530.

Adresse postale : 3 Rue Yves de Kerguélén – 56000 Vannes. Téléphone : 02.97.40.72.40.





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Bonne année 2011 à toutes et à tous, Bloavez mat, Feliz Ano Novo !


Souhaitons que l'année nouvelle voit se réaliser de nouveaux et chaleureux échanges entre nos deux régions. Que l'amitié entre Bretons et Galiciens se renforce et contribue à la construction d'un monde plus humain et solidaire.

Et merci à tous nos amis de Galice et de Bretagne qui nous ont adressé leurs voeux : Carlos Nuñez avec cette magnifique photo du concert tenu en juillet à Saint Jacques de Compostelle, Alvaro Seivane que nous avons eu le plaisir de rencontrer en mai dernier, l'Association des professeurs de français présidée par Carlos Vidal.




Nous remercions également la municipalité de Burela qui renforce ses contacts avec Concarneau, Matilde et Pilar (Ville de La Corogne), Yolanda Cela (Concello de Ordes), Anton Ferreiro (Jumelage As Pontes-Lesneven), José Santiso ( Ville et Office de Tourisme de Lugo ), Nicolas Derval, Yvon Boëlle et l'association Bretonne des Amis de Saint-Jacques, Saga-TV, Mr Anton Louro Goyaves représentant du gouvernement espagnol en Galice, ainsi que la maison d'éditions Galaxia, Margarita Lobato (Catoira), Manuel Camba Gayoso, Ana Miranda (députée européenne), Jean-René Dagouat (Quimper) et toutes celles et ceux qui se joindront à notre réseau d'amitié.



Les vœux de Mondoñedo: nos amis de l'association O Pasatempo de Mondoñedo nous ont adressé en guise de carte de vœux un montage de leurs nombreuses activités de l'année écoulée et nous avons le plaisir d'y voir figurer des photos prises lors de notre séjour en mai dernier dans la ville de Cunqueiro. Et nos amis nous font part de leur volonté de venir à Tréguier et de célébrer la Saint Yves à Mondoñedo.

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ASSEMBLEE GENERALE DU COMITE BRETAGNE-GALICE :
Notre assemblée générale annuelle aura très probablement lieu Samedi 26 février de 10 à 12 heures à Dinan.

La confirmation vous parviendra courant janvier.

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LA VIE DES JUMELAGES :

BIENVENUE A L'ASSOCIATION DES FRANÇAIS DE GALICE :
Nous avions établi le contact avec Nicolas Derval, initiateur d'une association des Bretons de Galice. Et voilà que, miracle des moyens modernes de communications qui permettent de diffuser et dupliquer l'information, nous recevons un sympathique courrier de l'AFG:

Les membres de l'Association francophone de Galice sont heureux de découvrir leur "sœur jumelle" en Bretagne.
Nous sommes une toute petite association de personnes francophones ou simplement d'Espagnols aimant le français établie à Ferrol (Galice). Nos amis Manu et Mariola viennent de nous faire parvenir votre bulletin du mois de novembre. C'est formidable de voir l'intérêt que vous portez à notre terre d'accueil.

Que pensez-vous d'un contact permanent entre nos deux associations?
A bientôt , j'espère.
Denise Carteret, secrétaire de l'AFG


Assurément, nous ne manquerons pas de répondre favorablement à cet appel de nos amis de la diaspora, bretonne ou non, en Galice. D'ores et déjà, vous pouvez vous connecter sur le blog de l'AFG http://afg.over-blog.com/ où l'on peut constater que cette association est on ne peut plus dynamique.


UN STAGE DE MUÑEIRA A PORNIC :
Le comité de jumelage de Pornic organise chaque année fin janvier un stage de muñeira, danse traditionnelle de Galice. C'est Eduardo Alves, animateur du Ballet de Boiro (La Corogne) qui l'animera. Nous n'avons pas encore les modalités mais il est possible de contacter Marie Savariau mgsavariau@hotmail.com

BURELA YA TENIA UN PUERTO BALLENERO EN EL MEDIOEVO:
Philippe Le Goff nous a adressé ce très intéressant article publié par "El Progreso" sous la plume de Maria López:
Juan Ramón Fernández Pacios (foto) es licenciado en Geografía e Historia en la especialidad de Historia Contemporánea y se encarga del Centro de Interpretación del Camino Norte en Mondoñedo. Ha investigado con frecuencia, en libros y conferencias, la historia de la comarca mariñana, con cuestiones como la organización política del Concello de Foz entre 1580 y 1880, el hospital de peregrinos de San Martiño de Mondoñedo, el sistema viario medieval en el territorio de Burela o el papel de la nobleza gallega a lo largo de la Edad Media.


Su última conferencia en Burela trató sobre el municipio en la Edad Media, concretamente en el siglo XV. ¿Qué señalaría de relevante en ese periodo?
Cómo fue decayendo gradualmente el poder de la nobleza gallega entre los siglos X y XV. Entre el X y el XII tenían tanta influencia como para aupar a Alfonso VII al trono, incluso en contra de la voluntad de la propia madre del monarca, Urraca I de León, y de su segundo marido, Alfonso I El Batallador. Con Alfonso VII tuvo Galicia una oportunidad, al final frustrada, de ser reino independiente. Tres siglos más tarde, sin embargo, la resistencia de la nobleza gallega frente a la castellana acabó en un rotundo fracaso. La rebelión de los nobles Pedro Pardo de Cela y su yerno Pedro de Bolaño significó la decapitación del primero ante la catedral de Mondoñedo por mandato de los Reyes Católicos. Hasta entonces, el poder de Pardo de Cela en A Mariña era enorme, contando con fortalezas, jurisdicciones, la alcaldía de Viveiro y siendo encomendero del obispado mindoniense.

¿Los Reyes Católicos acabaron entonces con la dominación de la nobleza en A Mariña?
Lograron pacificar el territorio, a costa de realizar un escarmiento ejemplar precisamente con Pardo de Cela. Este noble ha pasado a la historia por el sitio que sufrió por tropas enviadas por los Reyes Católicos y el Obispo de Mondoñedo, su heroica defensa final en el castillo de A Frouxeira y en O Castro de Ouro (Alfoz), además de su ajusticiamiento en 1483 en la Praza la Catedral de Mondoñedo, in extremis, cuando su mujer portaba en las proximidades el indulto real y fue 'entretenida' por monjes del obispado en el puente do Pasatempo. Pedro de Bolaño, por su parte, fue dueño del puerto de Burela. Por los bienes de la llamada Sucesión de Burela, Pedro Bolaño pleitea con el cabildo de Mondoñedo, y pierde el pleito. Los condes de Lemos también se rebelaron y vieron como consecuencia muy rebajado el poder que ostentaban hasta entonces. Podemos decir que el siglo XV marcó el final de la nobleza gallega.
¿Y cómo era Burela por aquel entonces?
No sabemos demasiado, pero había ya entonces un puerto ballenero. Durante toda la Edad Media y hasta el siglo XVIII la pesca de ballenas generó una importantísima industria en Burela, que alcanza su mayor esplendor en los siglos XV y XVI. Está documentado que en 1527 los balleneros vascos declaran que vienen a Burela desde tiempos muy antiguos. Los vascos viven en alquiler en las casas del puerto, de las que son dueños las familias Díaz de Ribadeneira y Pedro de Bolaño. Además en Burela existían varias casas torre, preparadas para la defensa con almenas y de las que aún perviven la situada en Burela de Cabo y una casa señorial en Vilar. La casa torre le pertenecía a Fernán Díaz, mientras el pazo de Vilar era de Pedro de Bolaño. En sus respectivos testamentos se citan estos edificios.


Burela n'était certes pas le seul port baleinier : toute la côte du Cantabrique, les rias galiciennes s'adonnaient à la chasse au cétacé. Non loin de Burela, la criée du port asturien de Luarca rappelle par des azulejos cette période.

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LA SITUATION DES JUMELAGES ENTRE BRETAGNE ET GALICE:

En novembre 2009, le Comité de Jumelages et d'Amitiés de Pontivy présidé par Mickael Le Botlan avait organisé en partenariat avec la Fédération Française des Villes Jumelées un premier Congrès des Jumelages de l'Ouest qui avait permis de montrer que les jumelages demeuraient une idée porteuse en Europe et dans le monde et permis l'échange d'expériences.
L'idée a dû séduire le Conseil Général des Côtes d'Armor qui a missionné Claire Blandel afin d'établir un rapport sur les jumelages propres à ce département. Nous avons été sollicités afin de faire part de notre expérience. Une présentation devait avoir lieu en octobre mais elle a été annulée du fait des mouvements sociaux et, reportée à décembre, elle l'a été une seconde fois pour cause de météo mais le Conseil entend bien organiser quelque chose au printemps prochain; le rapport a néanmoins été rendu public sur le site du Conseil Général http://www.cg22.fr/
Nous avons dans le même temps établi un « état des lieux » des jumelages de nos deux communautés -et l'Espagne- sans préjuger de leurs activités. Sauf erreur ou omission de notre part, la liste est la suivante :

Finistère: Brest et Cadix (Andalousie, Carhaix et Oiartzun (Pays Basque), Chateauneuf du Faou et Cinchon (Madrid), Clohars-Carnoet et Nava (Asturies), Lesneven et As Pontes (Galice), Locquirec et Avinyo (Catalogne), Loctudy et Ribadeo (Galice), Quimper et Ourense (Galice).
Cotes d'Armor: Dinan et Lugo (Galice), Lannion et Viveiro (Galice), Mur de Bretagne et Sarria (Galice), Plounevez-Quintin et Castro de Rei (Galice), Tréguier et Mondoñedo (Galice), Glomel et Tazones (Asturies), Plouha et palas de Rei (Galice), Tregastel et Foz (Galice).
Morbihan: Inzinzac et Parres (Asturies), Larmor-Plage et Calafell ( Catalogne), Lorient et Vigo (Galice), Pont-Scorff et Pravia (Asturies), Saint-Nolff et Pedrejas de San Esteban ( Castille-Leon), Questembert et Alcala de Guadaira ( Andalousie), Malestroit et Ramales de la Victoria (Cantabrie).
Ille et Vilaine: Pays de Dol et Cambados (Galice), Bain de Bretagne et Lerma (Castille-Leon), Dinge et Guimuel (Castille-Leon), Guichen et Villafranca de Barros (Extremadure), Lecousse et Morcin (Asturies), Liffré et Beniel (Murcia), Melesse et Enguera ( Valencia), Muel et Muel (Aragon), Noyal sur Bazouges eet As Nogais (Galice), Paimpont et Cedeira (Galice), Rennes et Saint Jacques de Compostelle (Galice), Vignoc et Toro (Castille-Leon), Vitre et Villajoyosa (Valence).
Loire Atlantique: Carquefou et Allela (Catalogne), canton de Légé et As Neves (Galice), Geneston et Covelo (Galice), Guérande et Almagro (Castilla-la Mancha), La Haye Fouassière et Corrales de Buelna (Cantabrie), Nort sur Erdre et Pedrabuena (Castille-La Mancha), Pornic et Baiona (Galice), Pornichet et San Vicente de la Barquera (Cantabrie), Saint Brévin et Santamera (Murcia), Saint Colomban et Los Palacios (Andalousie), Saint Herblain et Valdecons (Catalogne), Saint Nazaire et Aviles (Asturies).
Autres jumelages avec la Galice: Lalinde (près de Bergerac) avec Lalin, Granville et Villagarcia de Arousa, Noirmoutier et Padron, L'Isle Jourdain et Carballo.
En outre, Parentis en Born serait également jumelée avec Ribadeo et Vilanova de Arousa avec Cuxhaven qui est jumelée avec Vannes.
Il convient aussi de signaler que si la Bretagne (Loire Atlantique incluse) compte 1490 communes, la Galice, elle n'en a que 315 ! Et toutes les communes pour une raison ou une autre ne pouvant se jumeler, les « cœurs à prendre » sont donc en nombre restreint. Si les quatre capitales provinciales de Galice sont désormais jumelées (sauf Pontevedra mais il y a Vigo) avec une ville bretonne, nous avons quelques espoirs, certains contacts étant bien engagés comme Fene, Burela ..
Et comment voit-on les jumelages côté galicien ? Le journal de Luns a Venres publiait en avril dernier cet article :
Más de 80 municipios gallegos están hermanados con otras localidades.
Según los datos manejados por el Instituto Galego de Análise e Documentación, actualmente hay 84 municipios gallegos hermanados con 133 localidades de todo el mundo, lo que supone casi un 27%. Por provincias, la mayor concentración se da en A Coruña y Pontevedra, diez puntos por encima de la media autonómica. Ourense es la que menos tiene, con tan solo nueve ayuntamientos hermanados. La mayoría de las ciudades gallegas están hermanadas con más de una localidad. Destacan así los casos de Pontevedra y Ourense, con seis y cuatro, respectivamente. Pero esta intensidad también se da en concellos más pequeños. Es el caso de Melide, Boqueixón o Ponteareas, con cuatro acuerdos cada uno.
El informe señala que hay hermanamientos que se mueren de inactividad pero los hay muy concienciados. Es el caso de Baiona que tiene una concelleria de Pueblos Hermanados dirigida por Manuel Vilar que declara "Tenemos unos intercambios muy vivos con escolares, asociaciones, y una regata entre Baiona y Pornic".
La práctica surgió en Europa tras la Segunda Guerra Mundial, pero a día de hoy es una iniciativa global. En Galicia habría que esperar al fin del franquismo para que el fenómeno se extendiera. Desde entonces, la comunidad no ha perdido el tiempo.
Como era de esperar, la mayoría de las firmas se da con lugares de países europeos o de Latinoamérica. De hecho, más de la mitad de los hermanamientos gallegos están rubricados con países miembros de la Unión Europea, concretamente 68, principalmente en las provincias atlánticas. Otros 31 están firmados con otras comunidades de España y 29 con localidades americanas.
En cuanto a los hermanamientos dentro del Estado, la principal razón es la emigración, por lo que se colocan a la cabeza los acuerdos con Canarias o Cataluña. De entre los destinos europeos, los vecinos Portugal, por motivos culturales y lingüísticos, y Francia se llevan la palma, con un 67% de los mismos. En el país galo, la mayoría se produce con Bretaña, debido a las conexiones culturales celtas. Aunque también destacan otros como Alemania, con una gran colonia de emigrantes, o Inglaterra ,por razones educativas.
La emigración es la principal causa de los hermanamientos más allá del Atlántico, como Argentina, Cuba o México. Probablemente, el caso que más llame la atención sea la unión de Ribeira con Neward, en el distrito de Nueva York, con un buen número de población gallega y portugesa.
El exotismo no termina aquí. También se contabilizan cuatro hermanamientos con localidades saharauis, principalmente por motivos solidarios con la antigua colonia española. Otro caso que cabe destacar es la conexión entre Burela y Sâo Miguel de Aranjo, en Cabo Verde, impulsada por la importante colonia caboverdiana en el municipio lucense. Y la red seguirá expandiéndose en los próximos años. El próximo, el hermanamiento entre Ferrol y Adelaide, en Australia.
En total, España cuenta con 800 hermanamientos, con comunidades como Cataluña, Andalucía o Valencia a la cabeza. Más de dos terceras partes de los acuerdos se dan con países de la Unión Europea. El resto, con Latinoamérica y África.
En 2006 estaban contabilizados en Europa 17.000 hermanamientos, lo que implica a más de 30.000 localidades de 35 estados continentales. Alemania, Francia, Italia, Polonia y Reino Unido, se colocan en los primeros puestos en cuanto a hermanamientos, la mayoría con pueblos fronterizos.

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LES ECOLES OFFICIELLES DE LANGUES :
Il existe plusieurs Ecoles Officielles de Langues ( EOI ) dans toute l'Espagne et donc dans les différentes provinces de Galice. Il en existe onze, celle de La Corogne étant la plus ancienne. Il y en a deux dans la région de A Mariña à Viveiro et Ribadeo mais aussi à Ferrol, Saint Jacques de Compostelle, Lugo, Monforte, Ourense, Pontevedra et Vigo. Certaines écoles possèdent des annexes.
Ce type d'école n'existe pas , malheureusement en France.
Pour ce qui est des inscriptions, il faut faire une préinscription au mois de septembre, puis la confirmer fin septembre , chaque région se réservant le droit de gérer ces inscriptions comme elle le veut.
Tout le monde peut s'inscrire à l'école de langues, dès l'âge de 14 ans, c'est à dire à partir de la 3°ESO ( troisième en France ) mais les élèves ne peuvent pas choisir l'anglais pendant l'étape d'enseignement secondaire. Les adultes, eux , peuvent choisir n'importe quelle langue.
En Galice, le coût annuel est d'environ 100 euros.
Les diplômes sont les suivants : A1, A2 : niveau débutant , B1, B2 : niveau intermédiaire , C1, C2 : niveau supérieur. Ces diplômes sont à présents valables dans tous les pays de l'UE. Beaucoup de Galiciens , jeunes et moins jeunes suivent ces cours, pour un coût vraiment bas. Ce système est très intéressant et performant, même des enseignants les suivent …
Philippe Le Goff.
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El ADN confirma que los vikingos llegaron a América antes que Colón:
Cinco siglos antes de que Cristóbal Colón pisara por vez primera tierra americana, una mujer amerindia llevada por los vikingos hasta Islandia puso en contacto a europeos y americanos, según un estudio que concluye que dicha presencia precolombina en el Viejo Continente tiene además una base genética. En el estudio científico, publicado en la revista American Journal of Physical Anthropology, han participado investigadores españoles del Consejo Superior de Investigaciones Científicas (CSIC). Los investigadores han llegado a tan novedosa e importante conclusión después de analizar la genética de cuatro familias islandesas, de las que hoy forman parte unas ochenta personas. En sus genes, según la investigación, se encontró un linaje de origen amerindio, después de reconstruir sus genealogías hasta cuatro antepasados cercanos al año 1700. Hasta ahora se conocía que los genes de los habitantes de Islandia procedían de los países escandinavos, Escocia e Irlanda, pero no se tenían noticias de que su origen pudiera ser más lejano, al otro lado del océano y mucho antes de que Colón llegara en 1492 al Nuevo Continente.
La idea de que los vikingos, viajeros incansables, llegaron al continente americano siglos antes que Colón, si bien es verdad a tierras más frías, no es una novedad. Restos arqueológicos y narraciones ancestrales así lo atestiguan.
Es el caso del poblado vikingo descubierto en Terranova, Canadá, o textos medievales islandeses como la "Saga de los groenlandeses" y la de Erik el Rojo, ambas del siglo XIII y en las que se apunta que tan temibles guerreros comenzaron a llegar a los costas americanas a partir del siglo X. Como la isla quedó prácticamente aislada desde el siglo X la hipótesis más factible es que estos genes correspondiesen a una mujer amerindia que fue llevada desde América por los vikingos cerca del año 1000.

(Article envoyé par Philippe Le Goff).

S'il est une ville ou le souvenir des expéditions demeure vivace; c'est bien Catoira située au fond de la ria de Arousa. Chaque premier dimanche d'aout (notre photo) s'y déroule la Romeria Vikinga dont la première édition eut lieu en 1960. L'objectif était de rappeler la résistance des habitants de Catoira face aux envahisseurs en quête du Trésor de Compostelle. Elle est aujourd'hui déclarée Fête d'Intérêt Touristique International. ( www.catoira.es ).

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UNE ONG GALICIENNE D'INSERTION « ASMIREFE » PRESENTEE LORS DE LA SEMAINE DE SOLIDARITE A VANNES :
La Galice a été et demeure terre d'émigration et d'immigration. Ses plus grands auteurs, Rosalia de Castro, Alfonso Castelao y ont fait maintes fois références. La Xunta a mené une campagne de sensibilisation sur le thème « Nous savons ce que signifie être loin de chez soi ». Ce globe nous apprend ainsi que : 12525 galiciens vivent aux Etats-Unis, 15645 à Cuba, 35500 au Brésil ainsi qu'en Uruguay, 139000 en Argentine et … 36000 en Suisse. Il n'y a pas le chiffre pour la France.
Dans le même temps, plus de 100000 étrangers vivent en Galice, la plupart originaire d'Amérique ce qui, même si la langue est la même, n'est pas sans poser des problèmes d'insertion. Et il y a également les Galiciens « revenus » qui souhaitent se réintégrer dans leur pays d'origine.
Lors de la Semaine de Solidarité Internationale qui s'est tenue à la mi-novembre, l'association vannetaise « Amigos de España » a choisi de présenter l'action de deux ONG espagnoles d'insertion dont l'une, ASMIREFE, rayonne sur la région de Ferrol :
La Asociación Migratoria de Residentes en Ferrolterra (ASMIREFE) es una asociación sin ánimo de lucro formada en el año 2002 por inmigrantes, emigrantes retornados y gallegos/as residentes en la comarca de Ferrol (A Coruña). Disponemos de muy escasos recursos económicos pero abundancia de ilusiones; nuestro fin estatutario es echar una mano a todas las personas llegadas de otros países para que la integración en esta sociedad y su nueva vida les sea más fácil. Así, asesoramos sobre los trámites y diligencias imprescindibles: empadronamiento, NIE, permisos de trabajo y residencia, nacionalidad, solicitud de ayudas asistenciales y pensiones etc.; programamos actividades culturales para mejorar nuestra formación y darnos a conocer al resto de la ciudadanía; organizamos "asados" interculturales o comidas de confraternidad; nos mantenemos informados para participar en actividades, cursos de formación e integración social... Siempre con una única meta: la integración social, y siguiendo los principios de la solidaridad bajo el lema "Outro mundo é posible".
Los socios/as, en su mayoría son iberoamericanos. Así, hay emigrantes retornados e hijos de gallegos nacidos fuera de España, argentinos, uruguayos, peruanos, colombianos, chilenos, ecuatorianos, venezolanos, de Bolivia y hasta una muchacha saharaui.
Disponemos de un sitio web http://www.asmirefe.tk/ y todos los meses editamos una revista en la que se publican noticias de nuestros respectivos países, información sobre extranjería, nacionalidad y legislación laboral; iniciación a la lengua, cultura e historia de Galicia (nuestro país de acogida); poesía y literatura universal, artículos y colaboraciones de aquellas personas, sean o no de la asociación, que deseen contribuir a nuestra causa; programación y eventos realizados, propuestas de iniciativas solidarias, un poco de humor y fotografías de un país o temática a la que cada mes dedicamos un especial.



L'association présidée par Mabel Charquero galicienne d'origine uruguayenne, est soutenue par la Ville de Ferrol et organise chaque année une grande fête de la diversité « Mundo mestura ».

Un cousin galicien pour "Breizh Cola":
Hai xa un ano que un grupo de amigos deron cunha nova fórmula para refrescar a lingua galega: a Galicola. Con ela, ademais de saciar a sede e seguir o exemplo da Euskal Cola ou Mecca Cola, quixeron sacar unha bebida que axudase a fornecer de recursos o movemento normalizador do idioma -dedícanlle o 5% das vendas brutas- e «combater o monopolio das multinacionais ianques», segundo afirma un dos creadores, o lucense Xan Bagaria.
Membro do equipo fundador, critica que «non pode ser que aplaudamos co consumo o que repudiamos coa cabeza e co corazón».
Con esta filosofía, un grupo de mozos na vintena e treintena formaron a Asociación Cultural Fontaira, un colectivo sen ánimo de lucro no que se xuntan os creadores da Galicola e cuxa sede está en Vigo. Desde alí buscaron unha fábrica de refrescos en Galicia disposta a producir a mercadoría. E, aínda que a tarefa foi difícil, en agosto de 2009 conseguiron que Disbepo SL, unha casa de Vilagarcía de Arousa, fabricase as botellas. Alí, o equipo elixiu a fórmula segreda da Galicola e, logo, dedicáronse só á súa distribución.
«O día no que máis garrafas vendimos foi na manifestación de Queremos Galego, en outubro de 2009», conta Xan. O acontecemento coincidiu coa presentación do produto, do que despacharon unhas 800 botellas.
A partir de aí foron creando unha imaxe de marca e, agora, a Galicola xa se vende en máis de 90 bares distribuídos por toda Galicia. Bagaria indica que «a cousa está en expansión». E, aínda que de momento non chegou aos supermercados, este verán xa tiveron máis presenza en festivais.
Os prezos están ao alcance de calquera peto e a garrafa de 33 centilitros véndese a 0,47 euros. Ademais, a asociación xa pensa en preparar a Galilimón e Galilaranxa, coas versións sen azucre e cafeína. Pero todo ao seu tempo. Porque Bagaria subliña que «somos novos nisto e non somos unha empresa».
Anécdotas houbo moitas. Bagaria conta unha «moi boa» do festival pontevedrés de Queremos Galego. «Preguntamos nun bar pola Galicola e a camareira, pensando que era unha bincadeira, contestou: non temos, pero estaría ben que a inventasen».

¿E o segredo da bebida? O creador encolle os seus ombreiros e responde que, se Coca-Cola e Pepsi non revelan o seu, «nós non imos ser menos».

L'Espagne par la mer : le Camino anglais. Nous vous avons fait part de la mise en service de la ligne martime Saint-Nazaire/Gijon. Le groupe National Tour propose une autre façon de rejoindre l'Espagne du nord par la mer. Embarquez à Roscoff sur le Pont Aven de la Brittany Ferries. Direction Plymouth puis Santander. Des circuits organisés sont proposés permettant de visiter Galice, Asturies et regagner la Bretagne via Burgos. Mais chacun peut emprunter la ligne à sa guise. ==========================================================================

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